Oeuvre gribouilliste 5000 Euros TTC
Gribouillisme, définition : Art à la con : les prémices du gribouillisme...
Autre poésie : Tempête calme
On en a laisser pourrir,
Oeuvre gribouilliste 5000 Euros TTC
Gribouillisme, définition : Art à la con : les prémices du gribouillisme...
Autre poésie : Tempête calme
On en a laisser pourrir,
Psycho, oeuvre gribouilliste, 5000Euros TTC
Autres oeuvres gribouillistes :
Art à la con : les prémices du gribouillisme...
Il y en a des choses qui se posent devant nous comme inéluctables et impossibles à contourner. Mais ce ne sont que des images finalement et avant d'en avoir nous même taté la dureté, nous ne pouvons faire que des supposition sur elles. Le religion n'est pas toujours là ou on nous fait croire qu'elle est et puisqu'il y a des croyances, celles en une science invérifiable, édictée par une sorte de gourou taré, ne pourrait-elle pas être une religion ?
"Il fait chaud dehors", oeuvre gribouilliste, 5000 Euros TTC
Autres oeuvres gribouillistes :
Art à la con : les prémices du gribouillisme...
Tien, il fait chaud dehors..
Heureusement que je me suis bien planqué derrière mes murs. Il fait chaud dehors, je vois ça de derrière ma fenêtre, mais si ce feu passe derrière, je ne laisserais que des cendres derrière moi...
Ne sommes nous pas que poussière, après tout. Je m'enferme, parce que j'ai peur et quand on a peur, on se protège. Paradoxalement, c'est quand on se protège le plus, qu'on a les plus grandes chances de voir le sujet de ses peurs arriver. L'enfermement protège un temps, mais limite les issus, si son refuge n'en est plus un...
Il fait chaud dehors et bientôt, je vais me faire cramer la gueule chez moi...Du coup, il fera aussi chaud chez moi et dehors plus tard, il fera froid, mais je ne serais plus là...
Oeuvre gribouilliste : 5000 Euros TTC
Gribouillisme, explication de la démarche : Art à la con : les prémices du gribouillisme...
Autre oeuvres gribouillistes :
Il arrive qu'avec le vent, on ne puisse plus distinguer les choses fixes des choses mobiles. On ne voit plus que la couleur et encore, c'est parce que ce jour là, il faisait beau...
Des centaines de traces sont laissées et la terre s'en imbibe jusqu'à ce qu'il ne reste plus que des sillons, une fois la tempête calme passée.
Mais voilà, on s'est prit un bon coups dans la gueule et on ne sait plus très bien ou est le relief, ou est la pente et si ce que l'on voit est bien réel.
"En voilà une question bien bête", lui répondi la taupe cosmique qu'il sortait de son cul au même moment..."Les choses qui se passent dans la tête, sont bien réelles puisqu'elles existent, une tête suffit pour ça..."
Mais alors qui sont les fous, des gens qui n'ont pas dans la tête les mêmes choses que nous ?
La vrai substance de ce que l'on appelle handicap, n'est-elle pas la différence de cette notion avec la pseudo normalité d'une majorité d'autre ? Les fous ne valent ni plus ni moins que les autres, les fous c'est peut-être vous, nous, les autres, ou les végétariens...
Parfois, je me dis que les fous ont des araignées géantes dans la têtes, qui se transforment parfois en feux d'artifices sur un prairie fluo...Et alors ?
La boite à musique : 5000 Euros TTC
Le gribouillisme, définition : Art à la con : les prémices du gribouillisme...
Autres oeuvres gribouillistes :
Elle apaise les moeurs il parait !
Elle sonne, virvolte, fanrandole et nous égaie de ses beaux airs, et ses disciples s'émerveillent de ce que nous la faisions notre.
Des yeux regardent sans réagir et les oreilles expertent ne savent que dire, face au volume...On s'enclume.
Les regardés, les regardant, ont bien su resté à leur place, les exposés, les exposants, assouvissent en coeur leurs fantasmes. Tout est rangé, tout est régi, le petit village sous cloche en verre, nous donnera bien ce qu'on lui fourni, de l'air du temps dans l'atmosphère.
Rose princesse : 5000 Euros TTC
Gribouillisme, définition : Art à la con : les prémices du gribouillisme...
Autre oeuvre gribouilliste : La chaise et l'écran.
Madame rêve, pense ressembler à quelque chose, quelque chose qu'on lui a dit, qu'elle envie et qu'elle espère. Madame est une princesse dans sa tête, la plus belle de toute, mais dans la tête de tous les autres, elle n'est qu'une princesse discount. Une princesse discount, autant dire une pute !
Mais les princesses ne sont-elles pas des putes et les putes des princesses ? On ne sait pas et on s'en fout, pour la plus part, pour la plupart de ceux qui n'ont rien à gagner à flatter l'égo de leur vis à vis.
La princesse ira agiter ses petits bras et ses petites jambes pour tenter en vain toute sa vie, d'être reconnue à l'image du rôle qu'elle s'est construit, pour ne pas voir la salle image qu'on a d'elle en réalité.
Oui, car la princesse pustule sur un fond rose vif de supermarché. La princesse hulule avec quelques fantôme passés dans la gueule. La princesse s'agite, pensant que ça changera peut-être quelque chose et la princesse sera bien déçue de mourrir avant que rien n'est vraiment changé, mis à part sa perception d'elle même, dégradée au rythme des années.
Image : "La chaise et l'écran", oeuvre picturale gribouilliste (5000 Euros TTC)
Démarche artistique du gribouillisme :
Art à la con : les prémices du gribouillisme...
J'avais le cul vissé sur ma chaise, depuis longtemps, tellement de temps que je ne sais plus bien depuis quand...
Je ne sentais plus mes fesses, je sentais quelque chose de dure en dessous. Cest dure de n'avoir plus de fesses, ça fait mal au cul, mais ça fait trop longtemps que je suis là, alors je ne trouve plus la force de me lever.
Cette chaise faisait partie intégrante de mon corps. A partir de là, j'avais une planche de bois et quatres bareaux qui me sortaient du cul, voilà ce que j'avais gagné dans l'affaire, était-ce-ce une affaire ? C'est bien ce qu'on m'en avait dit.
Je ne voudrais pas qu'on sache que je suis ici malgré moi, ma fiereté en prendrait un coup de plus, j'ai envie qu'il m'en reste un peu, même si c'est imaginaire. Un égo imaginaire, mais si on l'imagine c'est bien qu'il existe encore, même s'il n'est qu'un poid de plus m'incitant à en rester là, posé sur ce bout de bois vissé à mon cul...
Alors je souris, pour donner le change, je fais semblant de m'interesser. Je n'ai pas trop le choix en fait, je suis scotché ici, alors autant voir le bon de ce qui peut sortir de cet écran, histoire que le temps passe un peu. Alors je vois ces bons hommes virvolter pour moi, pour me distraire. C'est chiant, je n'ai pas choisi de voir ça, mais à force, on est bien obligé d'aimer.
D'ailleurs cet écran aussi est vissé à mes yeux, je ne peux plus m'en défaire, jusqu'à ne plus me rendre compte de la distance qui m'en sépare et qui le sépare de ce lieu. Il vomit dans mon regard et vomi sur les murs jusqu'à prendre toute la place.
Je suis une chaise, je suis un écran, je me fond dans le décor et tout autour, des murs...
Sur l'art et les artistes :
Spécial artiste à la con : l'écosystème élitiste dominant
L'art, qu'est-ce que l'art ? A quoi ça sert, l'art ? Est-ce que ça doit servir à quelque chose finallement ?
L'art, ou l'art de la subjectivité, l'art d'en parler, l'art de savoir en parler, l'art d'être bien né, de connaître les bonnes personnes, de
se forger un réseau, de lècher les culs, les bons culs, ceux qui sauront nous exposer pour nous orienter vers d'autres bons culs, qui aimeront à leur tour se faire lècher l'anus, pour qu'on
finisse par lècher le notre...
On pourrait tous avoir une perception différente de ce qu'est cette notion vague et généraliste d'art..Et pourtant, certains, dans leurs
domaines de prédilection, se sont appropré les façons légitimes de définir ce qu'est une oeuvre, ou ce qu'est un foutage de gueule intégral...N'est-ce donc pas ça, le véritable foutage de gueule
?
On pourrait se poser la question, je me pose la question. Quel est donc ce cursus honnorum qui nous mène d'apprenti artiste, d'apprenti
critique d'artiste, à véritable censeur de l'art. Comment devenir crédible au pays des créditeurs d'art, ceux qui possèdent les lieux d'art légaux, les moyens de subventionner l'art, les moyens
de faire vivre les artistes et de diffuser leurs pseudo oeuvres ?
Et bien, il faut faire comme ils nous disent, il faut aller à l'école, il faut se faire éduquer, se faire dresser..Il faut aller dans les
écoles, s'y faire selectionner par des gens qui sont allé aux mêmes écoles et se sont fait selectionner en leur temps. Et l'on reproduit, on reproduit, on se conservatoirise, on s'art décor, on
s'école de théâtrise pour enfin reproduire le jeu de marionnette qu'on a regardé, aimé, pour avoir envie d'en faire partie plus intégrante...Oui, parce que le spectacle, ce sont aussi les gens
qui regardent, des marionnettes qui regardent des marionnettes, avec seul les privilégiés de la scène, étant au courant qu'il font parti d'un spectacle...Un speclacle prémaché, joué et rejoué.
Ces spectacles, la plupart du temps, ne reflètent en rien leur personnalité, non, ils interprètent, ils interprètent, ils reproduisent avec l'insolence de croire que si c'est eux, ça sera
peut-être mieux...Mieux pour flatter leur égo, certainement. J'aurais préférer en apprendre plus sur eux, je n'aurais finallement pu qu'entrevoir leur amour de la masturbation intellectuelle. Ca
n'est pas plus mal, me direz vous, c'est peut-être dans la masturbation que ces gens sont le plus interessants...
Alors pourquoi je m'y met, moi, à vouloir exposer ? Pourquoi ? Et bien pour les mêmes raisons. Je tente ici d'entrer en immersion dans le monde
merveilleux des artistes, mais sans avoir été dans les bonnes écoles, sans avoir de réseaux, sans être bien né et sans lècher des culs, ou du moins en pratiquant mes anulingus pour des raisons
purement pédagogiques...
Cela faisait longtemps qu'il n'y avait pas eu de renaissance de l'art. Souvenez vous de ces mouvement révolutionnaires nés il y a seulement
plus de cinq siècles. Souvenez vous du géni de ces léonardo, donatello et des autres tortues ninja...Depuis quelques mois, une nouvelle renaissance de l'art est en court et il est temps pour moi
de vous mettre au parfum.
Là ou l'art a fait son bonhomme de chemin dans les plus grandes traditions de reproductions en tout genre...Là ou l'art virvolte dans ses
créations, engendrant d'autres créations copies et moultes esprits inavertis s'emmerdant comme des rats morts dans des vernissages à la con...Oui, là, dans ce monde chiant à mourrir, une nouvelle
aire sonne enfin !
L'école du griboullisme est arrivée pour révolutionner l'art contemporain, le merveilleux monde de la performance artistique, pour redonner à
ces notions leurs lettres de noblesse. Ici, l'art retrouve toute sa simplicité, se redéfini sur ses bases, pour mieux comprendre qui il est, afin de mieux pouvoir être vecteur de messages divers.
Avec l'absurde en porte étendard, le gribouillisme permet de remettre l'art et les artistes à leur place. Le monde de l'art, snobinard, peigne cul, créateur de reflux gastriques multiples et le
monde en général, soumis aux mêmes règles de castes et esprit de cour (les fameux réseaux..), sont une des sources d'inspiration du gribouillisme.
Oui ce monde est une grosse merde, le monde de l'art est une grosse merde et les pseudos artistes, qui le représentent si bien, sont de ce
fait, de très grosses merdes. Je n'ai rien contre l'art, ni contre les artistes, bien que ces derniers que je décris n'hésiteront certainement pas à crier au loup en me taxant de fasciste ou
autre blasphémateur, j'ai plutôt quelque chose contre les péteux. Le griboullisme est une arme anti péteux, c'est sa vocation, sa raison d'être et il n'aura de cesse de se foutre de la gueule de
nombreux artistes contemporains ayant pignon sur rue, se voulant novateur, alors qu'ils ne sont que de pâles représentants de commerce, amuseurs de l'élite bourgeoise, bouffons des rois de
pacotille, vivant aux crochets de l'esclavagisme humain.
A la manière de mes homologues artistes contemporains, mes oeuvres issues du griboullisme pourraient être réalisées par des enfants de cinq
ans. Selon le même principe, elles sont très chères (5000 euros pièce). Prochainement, vous pourrez les découvrir sur la toile ou dans quelques expositions et vernissages riches en peignes cul,
qui ne manqueront pas de s'extasier devant mes merdes et vomis mis à leur disposition.