Sur le sujet :
Système économique mondial : retirez vos oeillères, changez le
monde !
Bla, bla, bla, bla, bla...Le Gustavson il parle beaucoup, écris beaucoup, mais ne fait pas grand chose. Il écrit toujours sur le même genre de sujet, vous lui donnez n'importe quoi et il finira
toujours par dire que le système c'est mal, que la société est esclavagiste, que c'est la faute aux néolibéraux, qu'il voudrait bien généraliser la mastication du caca..Le tout avec plein de
fautes d'orthographes, de syntaxe, qui participent à tuer la "belle langue", tel les langages SMS et les discours des candidats de télé réalité.
Le Gustavson, une sorte de Michael Vendetta, dont l'égo démesuré lui fait croire que ces putains d'écrits touts pourris et ces putains de discours de rebelle de mes couilles, pourraient
intéresser quelqu'un d'autre que lui. C'est vrai, qu'est-ce qu'il fait d'autre dans la vie ce Gustavson, à part d’épancher ses frustrations et énervements divers sur un blog qui lui sert comme
d'une espèce de psychanalyse publique. Vous avez peut-être vos propres psychanalyses à faire vous aussi, ou autre chose, du yoga, de la prière, de la méditation pour vous faire oublier votre vie
de merde...Pour ma part, si vous le faisiez publiquement, j'irais pas vous lire, parce que je m'en foutrais, alors j'imagine bien que l'inverse soit vrai.
Ceci dit, ça ne m'empêchera pas d'écrire. En vérité, c'est toujours plus sympa d'être lu, surtout si des lecteurs potentiels se posent leurs propres questions, sur mes propres questions, et
mieux, s'ils partagent leur avis sur un sujet émis, en rédigeant un petit commentaire. Ça permet d'aller au delà de soit et par échange de bons procédés, d'avancer dans nos propres psychanalyses
individuelles, par une psychanalyse commune. Je parles ici de psychanalyses de soit même, mais aussi des psychanalyses de société, sorte d'analyse sociologiques, historiques, politiques,
philosophiques...Je dirais en gros que l'échange sublime l'idée, mais que même sans échanges, l'idée existe quand même. Gustavson existe sans vous, mais fera plus de chose avec vous, ou au moins
avec quelques-uns.
Gustavson, il a tellement de culot, il est tellement imbus de sa personne, que quand on lui demande quel est le but de son projet, il répond, "changer le monde"..Il ne manque pas d'air
celui-là..En fait si, il manque d'air en fait. Il se sent tellement étouffé dans un fonctionnement sociétal qui ne lui correspond pas, qu'il finira bien par s'étouffer des quelques ulcères issus
de ses énervements quotidiens multiples...
Changer le monde, c'est bien beau, mais il faut déjà savoir, pourquoi, pour qui, comment et comment le faire.
Changer le monde, pourquoi ?
Parce que de toute façon, le monde changera inéluctablement et très vite. Notre modèle de société, fondée sur le néolibéralisme et une domination totalitaire de quelque-uns, domination dont
l'outil principal est l'économie de marché, arrive à son terme. Le modèle économique global du monde s'emballe, les hommes qui le contrôlent ne se contrôlent plus eux même, eux et leurs pulsions
cupides et narcissique. Du coup, dans peu de temps, on se tapera une big crise économique à la mode 1929, qui va faire s'éffondrer l'ensemble de l'économie mondiale. Pour moi, c'est juste une
suite logique à la gestion calamiteuse, absurde, totalement irréaliste et si loin des bases simples et mathématiques qui devraient être les pierres angulaires de la gestion économique mondiale
(genre respecter les lois de l'offre et de la demande, ne pas spéculer sur la valeur des devises, des produits échangés...ne pas tout miser sur des politiques économiques basées sur le profit
immédiat, en oubliant du même coup les fissures structurelles et systémiques qu'elles provoquent...) (lien L'économie pour les très nuls .)
Nous sommes donc assis, sur un château de carte et on se retrouvera tous très bientôt le cul par terre...Du moins, si on ne fais rien avant et qu'on continue à vivre la dessus, endormi par les
habitudes qu'on nous a imposé.
Et si c'est pas la crise économique qui fera s'éffondrer ce système, c'est bien la planète qui s'en chargera, vu comme on l'a chargé de nos merdes humaines, polluant du sol à l’atmosphère, en
passant par les quelques systèmes digestifs des êtres vivant qui se baladent entre les deux. Je vais vous dire un truc, il vaut mieux pour nos vies que ça soit le système économique qui
s'éffondre avant. Sans thune, il est possible de vivre, sans oxygène, c'est carrément plus compliqué...
Changer le monde, pour qui ?
Pour cette bande de plouks dont je fais parti, qui consent à ce qu'on lui crée de toutes pièces, de nouveaux besoins absurdes chaque jours, afin de mieux les avilir ? Ben oui, pour cette bande de
plouk là et même pour la petite bande de plouk qui profite allègrement de cet endormissement généralisé. Pour l'instant, les gens on le choix entre un avis global et des avis plus ciblés, qui
entrent en action au sein du paradygme de l'avis global commun, pour faire croire ceux à qui l'avis est émis, soit tout le monde, qu'ils ont des choix à faire...Oui ils ont des choix à faire, des
choix à la con, pour savoir s'ils préfèrent mettre du Ketchup ou de la mayonnaise dans le burger qui les empoisonnent à petit feu. Le but de Gustavson, c'est avant tout de faire passer l'idée,
que la religion des états-nations, de l'économie de marché, de l'inégalité scandaleuse de la répartition des richesses mondiales, n'est qu'une religion mystique et non pas une science
rationnelle. Si c'est ça, alors la science est, elle même, une religion. Dans la sphère des idées et avis émis en public, émis à une certaine masse de gens qui vivent sans trop se poser de
question, je veux qu'il y ai les miens avis et cela de ceux qui pensent selon d'autres paradigmes, que celui, exclusif, que l'on nous impose depuis l'enfance. Lutter contre un certain
conditionnement, libérer les haricots de leurs bocaux, voilà le but de l'action de Gustavson.(lien Les
Haricots... ) Pour se faire, il faut libérer les consciences, leur faire se rendre compte qu'elles sont conscientes, qu'elles peuvent prendre des décisions de façon autonome, faire
leurs choix en meilleur connaissance de cause, en ayant le choix entre plusieurs paradigmes, plusieurs idées, plusieurs manières de faire. Ceux qui choisiront l'esclavage, le feront alors
consciemment...Mais mon petit doigt me dit, qu'avec une majorité plus consciente de sa réelle condition en ce bas monde, ayant plus de recul sur la façon dont les choses autour d'eux
fonctionnent, sera bien moins nombreuse à choisir l'esclavage au travail, au profit d'une minorité de privilégiés.
Changer le monde, comment ?
C'est vrai ça, changer le monde comment ? Comment est-ce que Gustavson veut-il que le monde soit demain ? Vaste question ! Ce qui est sure, c'est qu'il ne veut pas qu'il ressemble à le monde du
futur que nous réserve les agences de notation (lien Le quotidien du futur ). Il y a
quand même des notions simples à ingérer, à comprendre, pour savoir comment le monde pourrait être plus agréable à vivre autrement. Pour donner quelques exemples, on pourrait, comme dit
précédemment, mieux répartir les richesses mondiales afin que des populations entières ne soient pas victimes de famines, pendant que d'autre gagnent individuellement 300 000 euros par semaine.
Un revenu plafond mondial, pourrait arranger les choses à ce niveau là. Il serait bien sûre associé à un revenu minimum mondial, assis sur une monnaie mondiale unique, ayant la même valeur
partout. (lien : Revenu plafond (première partie :
globalisation et culpabilisation...) .
On nous parle de mondialisation, alors pourquoi ne pas mondialiser aussi les droits sociaux, en les harmonisant par le haut et non pas sur les droits sociaux inexistants des chinois ou des
birmans. (lien La mondialisation de "chomsky". 1- définition
réelle du terme.
La mondialisation des néolibéraux (vue par Chomsky).
Un exemple d'arnaque de la
mondialisation : les relations économiques entre les USA et le Mexique
La mondialisation, ou la
centralisation totalitaire de l'économie au profit de quelques privilégiés.
Demandons nous pourquoi les pays européens, par exemple, sont si riches, alors qu'ils ne possèdent pas de riches ressources en matière premières dans leur sol...Ces richesses là se trouve en
quantité en Afrique, le plus pauvre des continents...Étrange, me direz vous ! Ben non, la colonisation est passé par là. C'est fini me direz-vous...Ben non, puisque la mainmise des états
sur les pays colonisés, a été remplacé par la mainmise des multinationales sur les ex-pays colonisés...Tout cela est très logique...(lien : La dette des pays africains
La crise économique selon Thomas Sankara
L'assassinat de Thomas Sankara...
On va nous dire que ça n'est pas possible de faire autrement ? Mon cul ! On pourrait très bien faire autrement, vivre ensemble de manière plus juste. Tout est une question de volonté politique et
la volonté politique, elle, est entre les mains de gens avides de pouvoir, nés dans les valeurs bourgeoises du "réussir au détriment des autres". On me dit souvent, "si tu avais le pouvoir, tu
ferais comme eux, tu t'enrichirais comme eux, parce que tu ne pourrais pas résister à la tentation". Ben manque de bol, je n'ai pas été habitué à l'opulence et l'opulence, j'en ai donc rien à
cirer. Je suis loin d'être le seul dans ce cas. Il y a tout un tas de personne qui ne cherchent pas le pouvoir, la reconnaissance à tout prix, à collectionner les richesses comme on collectionne
les timbres...Ceux qui devraient coordonner les choses, devraient être ceux là, ceux qui n'ont pas l'envie irrépressible de le faire, mais qui le font pour ne surtout pas laisser la place à ceux
qui ont une envie irrépressible de pouvoir. C'est un peu ça, le sens de l'intérêt général. (lien : Les
meilleurs chefs..
Changer le monde, comment faire ?
Pour réussir à imposer des idées alternatives aux modèles communs de fonctionnement de notre société, il faut déjà commencer par expérimenter ses idées pour soit même, puis pour un groupe, puis
localement, avant de vouloir le faire globalement. Un exemple concret de réussite d'un projet fonctionnant avec des idées et valeurs différentes, est la meilleure publicité du fait qu'autre
chose, que d'autres manières de faire, puissent fonctionner. Lorsque l'on veut, comme Gustavson, diffuser des idées et avis différents, leur donner un crédit concret par des expérimentations
véritables, parait essentiel. Il y a tout un tas de choses à expérimenter localement, sur divers domaines ciblés, dans le cadre d'économie solidaire, qui pourraient être viables, très bien
fonctionner et donner des idées à d'autres de miser sur des projets similaires, ou tout le monde, monteurs de projets et bénéficiaires de leurs services, y gagneraient. Lier ces projets entre
eux, par thème et aussi par lieux, permettrait de mettre en place un vraie économie parallèle et non pas souterraine, qui discréditerait les injustices issues de l'économie de marché dominante
actuellement. Je dirais même plus, en raisonnant comme un bon capitaliste : "miser sur l'économie solidaire parait très opportun, l'économie des marchés est sur le point de s'éffondrer, vivre sur
ses bases est prendre le risque de voir toutes ses billes partir en fumée très bientôt. Miser sur un autre type de système, sur des projets indépendants de cette économie, qui est sur le point de
s'effondrer, parait des plus opportun...". Et c'est pareil pour les personnes qui ne cherchent pas à monter de projet. Le but principal des services de l'économie solidaire, outre le fait de
faire bénéficier d'un service des gens dans le besoin, de les aider à vivre dignement, leur permet également de s'autonomiser par rapport au système qui les a exclu. Si ce principe marche pour
les exclus, les précaires...Il marche pour tout le monde, encore faut-il avoir eu l'occasion d'avoir l'esprit assez ouvert pour avoir la curiosité de faire autrement, que comme on nous a
conditionné.
En résumé
Le constat du Gustavson's Project, est que le monde actuel ne correspond pas à l'épanouisement individuel et collectif. Il y a une nécessité d'un espace d'expression et de création alternatif. La
proposition du Gustavson's Project est de créer des supports de diffusion, ou de s'appuyer sur des supports de diffusion existants, pour émettre des idées, avis et propositions alternatives au
fonctionnement actuel de notre société. Il s'agira également de faire la promotion de projet alternatifs existants, ou en court de création, ayant pour but l'autonomisation individuelle et
collective par rapport aux règles et valeurs dominantes actuellement, se désolidarisant de l'économie de marché, outil d'avilissement des peuples. Le but de cette diffusion sera aussi d'aider en
la rationalisation et la structuration de ces différents projets entre eux, qu'ils traitent d'un autre thème, ou qu'ils soient situés dans d'autres lieux. C'est un trip à la Jean Moulin, qui a
mis en commun les forces des structures de résistances indépendantes avant son action, afin de rendre l'action globale de résistance plus efficace. L'impact voulu du Gustavson's project sera
l'incitation à la révolte des esprits, la prise de conscience de la condition à laquelle on nous assigne et à l'engagement vers la reprise en main individuelle, puis collective, de son destin. Ce
projet consiste à l'éveil vers de nouvelles philosophies de vie, ou à des philosophies de vie qui n'ont pas forcément leur place dans le système de vie en société existant, dans le but d'un
meilleur épanouissement personnel et une facilitation d'une certaine réalisation de soit. Au niveau quantitatif, il s'agira d’ouvrir le plus possible la réflexion, de la diffuser la plus
possible, afin d'amener au débat, à partir de proposition dont la promotion ne se fait quasiment pas actuellement. il y a donc un besoin, de ma part, mais pas que...De diffusion de ces dites
propositions. Les moyens pou réaliser ce projet sont encore flous. Des partenariats associatifs sont souhaités, des conférences sont à venir, des diffusions radio sont programmées, le Gustavson's
Blog continuera, les concerts de Gustavson aussi...Mais il faut bien plus..Je cherche, si vous avez des idées, n'hésitez pas !