Autre chansons :
Phallus Manifesto (Ou quand les bites prennent la parole)
"Une pièce pour ma fente" : L'opération "Pièces jaunes" revisitée par Olga...
Ca fait des heures qu'il tape
Olga veut changer de sexe, elle en appelle à vos dons pour se payer l'opération qui lui permettra de se séparer de sa bite (voir lien : "Une pièce pour ma fente" : L'opération "Pièces jaunes" revisitée par Olga... ), qui ne lui sert décidément à rien (voir lien : Message d'Olga...La chanson en écoute ).
Mais qui pense à cette bite qui n'a rien demander à personne et qui pourtant, va se faire assassiné dans l'indifférence générale ! Le Gustavson's Blog à décidé de lui donner la parole dans ce texte de chanson poignant de sincérité.
Pourquoi à t-elle fait ça
pourtant j'étais fidèle
quand elle avait besoin de moi
je bandais sans pareil
Sachant me faire discrète
me planquant s'il le faut
j'étais son arme secrète
servant dans ses passions
Je ne comprends rien au femmes
peut-être pas fait pour ça
je trône faisant le mâle
que les femmes ne portent pas
Que m'est-il arrivé
sur une femme castratrice
je me suis fait exciser
de par là ou je pisse
Je suis une bite
de transsexuel
en sac plastique
à la poubelle
Je suis une bite
poussée sur une
femme
qui veut sa
trique
qui s'avale
Moi, mes colocs relous
on prennait trop de place
qu'on combla bien d'un trou
pour nous y foutre dans la
crevasse
La rupture consommée
le mâle s'est fait la malle
on fit de moi de la paté
en boite que les cleps avalent
Je suis une bite
de transsexuel
en sac plastique
à la poubelle
Je suis une bite
poussée sur une
femme
qui veut sa
trique
qui s'avale
Autres chansons de GUSTAVSON :
"Ascétique des ASSEDIC", le clip de Pari Drakkar disponible !
La culture. (La chanson en écoute)
Réveillé par quelques bruits de glotte en charpie
et les effluves de quelques sphincter qui ont fuit
toute la nuit
victime de la condensation, ma sudation
rappelle l'odeur d'un phoque lorsqu'il enlève son pantalon
Couché la veille a son huitième bol de pastis
sa tête en veille, ses cheveux dans le crâne qui s'hérissent
On aime bien trainer au lit dans ce genre de cas
mais pas là,
3m2 à deux alcooliques donnent envie de se peler le cul
hors d'un logis bien provisoire, dont les sanitaires sont l'issue
armée de ma serviette et de mon rouleau de PQ
je parcourais l'allée centrale, comme je n'en ai jamais parcouru
C'est vrai que chez moi je ne nettoie pas la douche
que je pisse à côté de la lunette
imaginez bien qu'à 300
on en fait des taches de crevette
C'est le confort absolu, on dort à même le sol
accompagné d'un mec qui pue
on se lave à grand coups de mycoses
qui s'accrochent quand on marche dessus
On bouffe de la merde de sardine en boite
On préfère chier dans les bois
On se tape des voisins qui s éclatent
à la pétanque au pastaga
Ma tente vous tente
Ma tente vous tente
Ma tente vous tente
Ma tente vous tente
Aussi frais qu'une bouteille de sky
je part me faire doré à l'ombre
sur une plage bouffée par les algues
marée cachants l'odeur immonde
de mon manque de courage à la douche
ma carcasse et mes vielles vapeurs
accompagnent ma fière allure louche
Comme tous les beauf, arrivé le soir
je tenterais de squatter la tente d'une autre
mais vu l'histoire de mes journées
il y a peu de chance que je m'y vautre
Je finirais bourré dans ma tente
à me branler sur un mec qui ronfle
pour qu'au lendemain je me réenchante
du même type de journée qui gonfle
C'est les vacances et je m'éclate
comme un pauv type qui suit les autres
journée camping, soirée en boite
et vacances de merde dans les bottes
Ma tente vous tente
Ma tente vous tente
Ma tente vous tente
Ma tente vous tente
AUTRES CHANSONS EN LIEN :
Les Champignons : La chanson de GUSTAVSON en écoute
Le Blues de la main droite : la chanson de GUSTAVSON en écoute !
Et quand tu crois que c'est fini
y'en a encore
le doc à dit que c'était parti
qu'ils étaient morts
alors tu frotta la pelouse
gambadant dans la boue des prés
pensant que t'éviterais la bouze
à tout jamais
jamais dire jamais aux mycoses
qui t'attendent au coin de la rose
dont tu éfeuilla les pétales
en candide qui ne pense pas un mal
mais les épines dans le trou du gland
son venus te chopé dans ton chêne
et cette salive que tu te prend
sève qui t'irrite aux quatre veines
pour que t'explore avec son gant
les médecins chez qui te te traine
enfoncent quelques tiges un instant
dans le rouge vif de ton ébène
les séquelles post opératoires
t'auront bien fait passé l'envie
d'à nouveau trainer l’arrosoir
dans la prairie
A force de te prendre des médocs
t'en a fait des crises d'urticaires
des eudèmes de coinc à la glotte
des allergies dans ton sphincter
sans vouloir trop pousser le vice
tu te dit qu'il fait que tu te projette
à ne plus sortir ton pénis
autrement que dans les toilettes..
Et quand tu crois que c'est fini
y'en a encore
le doc à dit que c'était parti
qu'ils étaient morts
alors tu frotta la pelouse
gambadant dans la boue des prés
pensant que t'éviterais la bouze
à tout jamais
Je me baladais sur ma belle planche
à ras du sol je faisais la planche,
je glissais sur les plaques d'égouts,
le virage arrive je vois pas le caillou,
le "royal mange béton" que je me suis pris droit dans la face,
à fait dégagé la peau de mon visage par une belle trace,
qui fait double face mais j'ai roulé et j'ai fait les deux,
un visage plus égalisé c'est sure que ça passe un peu mieux.
Un film d'horreur se baladait on regrette Fantomas,
visage raclé prenant sa planche ridant avec panache,
Quand on tombe de cheval, faut remonter mais remonta pas son pantalon,
en pattes d'eph généralisées à toute la jambe jusqu'au caleçon,
pas facile d'avancer la jambe n'est pas large pour du vrai,
le fute au genou et la stabilité ça se télescopait
et arriva le drame la voiture d'en face n'a pas vu
l'homme à la croute faciale derrière sa gueule ne voit rien non plus
et la rencontre se fut au haley hoop il ft la balle
ne trouva pas le panier et finit sa gueule dans une dalle.
Le skate c'est bien mais à force de faire des slides sur ses couilles
notre ami en à marre, trouve ses fractures de moins en moins cool
l'ossature d'un vieux de soixante ans, dans 2 ans il fait de l'arthrose
trop dure pour lui le béton, il a décidé de faire autre chose
La neige c'est mou c'est froid, pas d'aspérité c'est bien net
sport d'hiver c'est la fête, piste le jour et soir la raclette
dure le sport le matin après le cholestérol et le vin
notre ami snowborder goofy l'apprendra ce matin
quand il descend remonte en lui une agglomération de fromage
plié sur ses genoux l'envie vint de ses douleurs intestinales
il arrive vite et le tremplin vient, il passe dessus et nous déballe
une nouvelle figure assassine le "fécaloïde fly"
Et jaune devant, marron derrière, le snowboarder multicolore
finit sa descente à l'envers parce qu'il a trop peur de la pente
quand les autres descendent, il remonte et il ne savait pas encore
que si il y a un sens sur les pistes, ça a une raison évidente
en face de lui un homme descend et est prêt à sauter
il s'élance le bras en avant pour mieux pouvoir exécuter
une innovation capitale qui allait changer le rôle des manches
sur les pistes s'est produit le premier "fist buccal avalanche"
Voilà l'histoire d'un type stylé comme le sont tous les gens du skate
sans cesse innovant leur phrasé par des termes qu'ensuite ils répètent
et je salue cette innovation à laquelle je veux participer
en gras dans le texte voilà les figures que j'ai inventé.
Chanson inspiré de what is love de..."hadaway"....Improbable. C'est devenu une espèce de chanson SM.
Mais qu'est-ce que l'amour
fais moi mal encore
je serais toujours
en train d'avoir tort
Mais qu'est-ce que l'amour
vas-y fait moi mal
un sentiment court
une pulsion s'emballe
Je ne fait plus rien
qu'être un champs de ronce
rien ne me convient
pas d'autres réponses
mais qu'est-ce que l'amour
saloperie de question
qui rythme chaque jour
de nos depressions
Question à la con
réponse insipide
pâleur des passions
hormones qui les guident
troupeaux d'animaux
se frottant à la route
de leur addictions
ou nombreux s'encroutent
plus rien à gagner
d'autre que du fromage
mycoses insérées
santé écarlate
Tu l'as bien cherché
et tu l'as bien eu
tu l'a mérité
un grand coups dans le cul
qu'est-ce que c'est l'amour
rien à foutre maintenant
je tracerais ma route
sans beaux sentiments
Sentir la chaleur
de cette addiction
sentir la douleur
dans ton champs d'action
fais ce que tu veux
frappe moi dans ma chaire
aime moi c'est tant mieux
même à ta manière
mais c'est quoi l'amour
montre moi comme tu m'aime
mais c'est quoi l'amour
montre moi comme tu m'aime...
Un vieux texte que j'ai retrouvé. Un message universel...au boulot !
Dans un monde ou tout le monde se baise
ou l'on s'encule autant qu'il peut se faire
tant qu'à faire passez à l'action
et baisez vous vraiment, ça vous rendra moins con
faites valser vos frustrations
le sexe votre rédemption
un petit coups ça détend
j'irais en enfer si je ment
le mutuel consentement
c'est la drogue que l'on prend
le défoulement des sens
qui copulent dans tous les sens
c'est les pulsions qui pensent
qui me vident les couilles
et la panse
Ça donne faim de vices
une pensée révélatrice
montrant la vraie nature
des animaux en rûte
qui se bavent dessus et glissent
au bon gré des malices
qui leur montent au cerveau
se suscurent à l'oreille
quelques vilains défaut
qui n'ont pas leur pareil
pour faire monter l'excitation
Enlevez donc votre balai du cul
pour y mettre autre chose à la place
pour qu'un beau jour soit disparue
votre frustration qui s'amasse
Débouchez vous les hormones
comme on sabrerait le champagne
vous verrez que vous deviendrez moins cons
et que ça sera tout le monde qui y gagne !
En Bretagne je voulais voyager
à Strasbourg, je prenais le TGV
pour mon ticket j'avais douillé
Ça valait mieux que de marcher
mais de voyager le cul par terre
pour 80 euros c'est cher...
En 7h, les bières sont passés
Sans faire l'alcool évacuer
arrivé on était pas fier
un grand besoin de prendre l'air
Avec notre équipe d'alcoolique
on va au festival celtique
là ou les gros binious raisonnent
et les vomissures papillonnent
autour de nous c'est le festival
des gars qui gerbent c'est un régal
ils trainaient partout dans les rues
limite, on leur marchait dessus
La Bretagne c'était radical
et ses spécialités locales
on se les ai prises cash dans la gueule
on s'est pas longtemps sentis seul
les bretons ils aiment bien manger
du Kuniaman, du beurre salé
assez pour pas être trop léger
un bon coup de vent qui est bien placé
te ferait bouffer le Kilt par le nez...
Au port de pêche, je prenais le bateau
de la rade de Lorient à Quiberon
mais à Gavre on s'est arrêté
il fallait bien pouvoir rentrer
Entre le chaud et la galette
et marcher 25km
après 3 bouteilles c'est choisit
on va bourriner sous la pluie
Sur la plage on crapahutait
et le temps était bien mauvais
il pisse comme si on se baignait
avec l'alcool on s'en foutait
et le chemin du retour fut pas triste
on était trempé jusqu'au slip
pour se donner chaud, nous on s'éclate
en faisant des manifs de droite
oui aux réformes, non aux impôts
plus de sous et moins de prestation
c'est triste qu'il arrive que des gens
ne disent pas ça en plaisantant
On savait pas ou on allait
on est passé par la forêt
on y voyait pas à deux mètres
pour les Corrighans c'est la fête
sorti de la on était bien soul
au beau milieu d'un champs de boue
on ne savait pas ou on était
et l'hypothermie nous guettait
Et on gueulait autant que ça caille
on tremblaient comme nos cordes vocales
quand on est ivre qu'est-ce qu'on est con
on aurait pu le prévoir plus tôt
Après avoir foutu notre merde
des flics nous ont appelé le taxi
vu ce qu'on à fait comme kilomètre
sans ça on serait rentré moisis
La pauvre morale de cette histoire
c'est qu'en Bretagne et même l'été
les temps sont rude et prends-y garde
à ne pas t-y faire dessécher...
Alors c'est une chanson grandement influencée par Buckowski...donc pas forcément un modèle de bon gout...
Journée pénible dans un bureau
apanage de mon quotidien
pour ce soir je m'étais fait beau
pour ce soir je voulais me faire du bien
J'ai mis du temps à me préparer
le temps que je passe dans la salle de bain
je ne l'ai pas pris pour bien manger
pas pris du tout je n'avais pas faim
J'arrive un nœud dans l'estomac
de toute façon j'ai rien mis dedans
de toute façon je mange là bas
j'ai hâte qu'on passe à table maintenant
elle aussi mais d'une autre façon
ses phéromones suintent les murs
elle a vite sorti bière et Picon
l'alcool m'avais rendu tout dure
Très vite elle a sauté sur moi
notre repas en fut décalé
c'est pas comme si je ne mangeais pas
mais c'est pas ce que j'ai espéré
Je voudrais de la salade de choux rouge
mais elle, elle n'en as pas envie
entre elle et moi son cul qui bouge
mais ça ne me rend pas indécis
Elle l'a prise dans les barricades
de ses dents qui se font menaçantes
elle veux ton plaisir animal
elle ne veux pas que je me sustente
Ma langue humide et bien pendante
n'approchera pas du saladier
mais mes envies de bouffe me hantent
mon estomac m'a obsédé
Partie de jambes en l'air bien bourrée
ne va pas avec l'exploit sportif
Si elle veut mieux me consommer
faudrait que je recharge les bobines
Alors me jetant sur le plat
d'un coups je me retire comme d'une bouteille
que j'avais préféré à ses bras
ma faim qui a nulle autre pareil
J'ai vite fait valser les couverts
ma tête noyée dans cette masse rouge
je pense à elle la tête dans le plat
hélas ça ne la flatta pas
j'ai senti sa main sur ma nuque
la saisissant de ses doigts fermes
et arrivèrent les aller retour
dessus et en plein dans la table
Marquant se mouvements frénétiques
qui m'aplatissaient le visage
elle ne céda pas à la panique
pas sa première scène de ménage
Groguis comme un boxeur KO
qui s'en ai mangé plein la gueule
j'aurais peut-être du bouffer plus tôt
j'aurais peut-être du bouffer seul...