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1 avril 2012 7 01 /04 /avril /2012 20:26

OLGA4

 

Chanson en écoute :

Ragga anti-homophobe

Chanson en écoute

 

Sur le sujet :

Message d'Olga...

Contes pour enfants et propagande sociétale

Des moutons à la pelle

 

 

Suis-je un homme ?

Suis-je une femme ?

Je ne sais pas trop ce que je suis, mais dès qu'on voudra me définir dans telle ou telle case, dans tel ou tel genre, tel ou tel thème, il me suffira de le savoir pour faire tout le contraire...

Pourquoi ?

Parce que je suis un salle gosse, je suis chiant, un vrai chieur et j'apprécie particulièrement énerver des gens qui ont des idées toutes faites, surtout lorsque ce ne sont pas les miennes. Et même si tout le monde a un jour les mêmes idées que moi, je soupçonnerais alors ces idées, me mettrait à les remettre en cause et à en chercher d'autres.

Je me méfie beaucoup des majorités, des pensées communes, des bien pensances. Plus les gens sont d'accord, plus je les soupçonnent d'être de gros moutons qui cherchent dans la chaleur des groupes, un moyen de se rassurer sur les peurs qu'ils ont. Et la peur est une bien mauvaise des conseillères.


Alors, pourquoi Olga ?

Pourquoi ai-je décidé d'un coups de faire du transformisme et de me foutre le cul dans une putain de jupe dans laquelle je me pelle les miches ? Pourquoi ai-je décidé de me foutre un putain de soutif qui comprime le thorax, de me faire une petite épilation intégrale au bon rasoir Gilette, ce qui fait qu'aujourd'hui j'ai des putains de boutons rouges partout et que ça va me gratter sa mère pendant trois mois ?

Pourquoi ? Est-ce que je suis sado maso ? Est-ce que tout à coups j'ai pris conscience qu'en réalité j'étais une femme ? Est-ce que je suis tout simplement stupide et que je n'ai commis ici qu'un acte absurde de plus ?

Pour commencer, Olga, c'est une bonne immersion dans le monde merveilleux des femmes. Avant, je me demandais pourquoi souvent, certaines d'entre elles se tenaient toujours droites comme des piquets, en ayant l'aire de souffrir et d'avoir les nerfs à la foi...Non les amis, ça n'est pas un état naturel ! Pour ceux qui ne connaissent pas ça, genre les hommes ou les boucs décérébrés, essayez une fois de temps en temps de porter des fringues qui vous compriment, des talons qui niquent les genoux et qui vous empêchent de marcher normalement, de vous foutre du putain de mascara dans l'oeil chaque matin, de vous épiler tout le temps. Rajoutez à tout ça que vous vivez dans un monde sexiste de merde ou vous serez moins payé qu'un homme à travail égal, ou vous serez chaque jour déconsidéré et au mieux pris pour un bout de viande... Imaginez qu'au seul moment ou vous pensez pouvoir vous détendre, vous vous faites bourrer le mou par des gros cons à l'haleine alcoolisée à souhait, observant attentivement vos nibards avec leurs yeux de veaux apathiques...Faites ça et vous comprendrez mieux !

Par exemple en ce qui me concerne le matin, une fois sur deux j'ai la flemme de me coiffer ou de me brosser les dents...C'est dire que ce fut un choc des cultures de devoir faire tant de truc à la con, pour que la société m'accepte en tant que femme...Bref, être une femme, c'est carrément relou et dans un monde sexiste baignant dans la domination masculine depuis des siècles et des siècles, c'est clair qu'il est bien plus confortable d'être un homme. Mais bon, j'ai décidé d'avoir le choix de mon genre sexuel. Je pense que si on se mettait tous d'accord pour décider d'avoir le choix et qu'on se mettait de temps en temps un tout petit peu à la place des autres, on vivrait quand même dans un monde vachement moins pourri.

Si j'ai décidé de créer Olga, c'est aussi parce que je sais que ça fait chier des gens que des mecs s'habillent en femme. Ce que j'aimerais par dessus tout en faisant ça, c'est subir quelques discriminations que subissent les femmes ou les trans chaque jour. Je voudrais attirer les gros cons, les remarques sexistes et homophobes, les archaïsmes patriarcaux. Je voudrais provoquer tout ça, pour observer comment ça se passe. En plus du plaisir de faire chier des cons...C'est un petit peu de l'étude.

Si ce que je fais peu servir, tant mieux, mais je dois vous avouer que je ne suis en rien altruiste dans cette démarche. Je ne défendrais pas plus la cause des transsexuels que celle des êtres humains. Moi j'aime tout le monde, ou je hais tout le monde, bref, je ne fais pas vraiment de différence entre les connards...Les connards à bite, les connasses à chatte, les connards noirs, blonds, pd...Quelqu'un qui me fait chier, le fait selon des critères subjectifs, les miens. La merde peut prendre bien des couleurs...

Mais je concède toute fois, que ça n'est pas très sympa de comparer les gens à des merdes, les merdes n'ont rien fait pour mériter ça...

26 mars 2012 1 26 /03 /mars /2012 18:37

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Sur le sujet :

Je ne vote pas et je vous emmerde !

Contes pour enfants et propagande sociétale

Des moutons à la pelle

Message d'Olga...

 

 

 

 

On entend souvent parler de liberté en ce moment. Oui, c'est les présidentielles, les candidats veulent tous plus de liberté, parce qu'ils sont tous gentils, veulent le bien commun et ont bien compris ce que veulent les français. "Oui, toi français, tu veux plus de liberté !", c'est pas vrai ? Ben ça ou autre chose, les candidats parlent en votre nom et en votre qualité de "français", à longueur d'affirmations médiatiques...Si vous n'êtes pas d'accord avec ce qu'ils disent de vous, je pense qu'il est grand temps que vous vous manifestiez ! Et en plus, c'est très vilain de parler au nom des autres sans leur avoir demandé leur avis, leur ascendant, leur accord avant...Après, ce sont des questions de politesse, de bien séance, choses qui nous sont souvent demandé à nous et que l'on respecte plus rarement en ce qui nous concerne. 

Mais revenons au concept de liberté...C'est vrai que liberté est un mot qui sonne bien et je suis bien d'accord avec le concept. Si on regarde bêtement la définition du terme, on trouve : "La liberté est l'état d'une personne ou d'un peuple qui ne subit pas de contraintes, de soumissions, de servitudes exercées par une autre personne, par un pouvoir tyrannique ou par une puissance étrangère. C'est aussi l'état d'une personne qui n'est ni prisonnière ni sous la dépendance de quelqu'un.

La liberté peut être définie de manière positive comme l'autonomie et la spontanéité d'une personne douée de raison. La liberté est la possibilité de pouvoir agir selon sa propre volonté, dans le cadre d'un système politique ou social, dans la mesure où l'on ne porte pas atteinte aux droits des autres et à la sécurité publique."

Intéressant non ?

Du coup, moi aussi je suis vachement pour la liberté, je suis aussi vachement contre la violence, la guerre et je suis très favorable à la légalisation des arbres à saucisses.

Pour être libre de la manière dont le dit cette jolie définition, il faudrait donc que je ne subisse ni contraintes, ni soumission, ni servitude de la part d'autres, en admettant bien sure, qu'on estime que je sois doué de raison. Ceci marche pour tout. Ça marche pour les contraintes physique, la violence, les méchants monsieur qui sont capables selon leur bon vouloir de nous obliger à faire des trucs qu'on aime pas, en menaçant d'exclusion sociale, de manque de nourriture, d'enfermement ou de gentils coups de matraque sur la gueule, par exemple. Ça marche également pour les mœurs, les traditions, les habitudes admises...

Admettons que nous vivions dans une société ou certains types de mœurs sont communément admises. Normalement, si on vie en toute liberté, on devrait pourvoir sans soucis avoir d'autres mœurs, tant que celles-ci n'empiètent pas sur la liberté des autres de pratiquer leurs propres mœurs qui ne seraient pas les mêmes. Moi je dis très bien. Par exemple, si certains gens ont décidé de s'habiller comme des meringues en dépensant leurs économies des cinq dernières années, pour affirmer haut et fort devant un entourage ingurgitant puis régurgitant des rasades de champagne qui coute la peau des couilles, qu'ils suceront la même queue durant le reste de leur vie, grand bien leur en fasse. J'ai beau trouvé ça super tarte, pensant que c'est très con de foutre l'argent par les fenêtre parce qu'on a lu des histoires avec des princesses étant enfant, chacun fait bien ce qu'il veut, si l'on estime que chacun est libre d'avoir telles ou telles mœurs, telles ou telles pratiques. Pour ce cas ci, vu que la plupart des croyants ou non croyants ont tendance à suivre les idéaux commun des religions monothéistes, il n'y aura pas grand monde pour les empêcher de vivre en couple ou de se marier. Ce sont eux les plus nombreux, la grosse majorité, il n'ont donc pas de problème de liberté dans leurs pratiques. Hélas, la liberté passe souvent par ce genre de principe. Tant qu'on fait comme tout le monde, qu'on ne dérange pas en étalant des pratiques, des mœurs qui divergent de celles d'un majorité, on est très libre...Oui, nous sommes toujours très libre de faire comme tout le monde, de faire comme on nous dit, de nous ranger dans les cases que notre belle société socialement ordonnée à prévue pour nous. Par contre, c'est sure que quand on déroge à certaines règles de bonne séance, qui n'empêchent en rien les pratiques des mœurs communes, on est tout de suite un tout petit peu moins libre.

Imaginons que j'ai envie de manger mon caca, la scatophile que ça s'appelle. Je dérange qui, si je mange mon caca ? J'empiète sur quelles liberté si je mange mon caca ? Est-ce que je devrais taire au monde le fait que je mange mon caca ? Quelle exclusion sociale vais-je subir si j'affirme manger mon caca, ou même celui des autres ? Les gens qui se marient ne feraient-ils pas le bonheur de quelques scatophiles en leur donnant en offrande les déjections de foi gras de la cérémonie ?

Hélas, comme en réalité, je pense que nous ne sommes pas tout à fait libres, je crains fort que les scatophiles ne puisse pas manger du caca  en toute liberté. Au nom de quoi ? D'une certaine inquisition sociale qui nous empêche d'être libre d'avoir les pratiques que l'on souhaite avoir. De cette inquisition, vous êtes tous plus ou moins la police des mœurs et je me comprend aussi dans le lot. Pourtant, il est vrai que tout un tas de pratiques ne sont pas acceptées en société, alors qu'elle ne dérangent personne dans les faits, ne jurent sur la liberté de personne, c'est juste que l'on admet pas, que l'on accepte pas, ne tolère pas ces pratiques au nom de valeurs totalitaires...Le totalitarisme, c'est un peu l'inverse de la liberté et j'affirme que l'on vit dans une putain de société totalitaire. On dirait qu'on braille le mot de liberté à tout bout de champs pour compenser le fait que nous en avons de moins en moins. En à t-on d'ailleurs jamais eu vraiment en ce qui concerne les mœurs. J'insiste bien, je parle des mœurs qui ne dérangent personne et qui ne privent pas les autres de liberté. Si quelqu'un décide d'avoir comme mœurs d'éventrer les femmes enceintes pour manger leurs fœtus, c'est premièrement pas très sympa pour le dynamisme du taux de fécondité, vecteur de croissance comme chacun sait, et ça n'est pas compris dans les mœurs qui ne dérangent personne, qui ne contraignent personne. A ce niveau là, il n'est pas plus mal de priver ces gens de certaines libertés, comme de la liberté d'agir pour pratiquer ces mœurs pas sympa pour la croissance.

J'exagère un peu avec cet exemple, tout ne tombe pas sous le coup de la loi. A la base, ce qui m'a inspiré pour la rédaction de cet article, c'est les couples, la vie de couple et l'inquisition sociale autour du microcosme du couple. Si vous avez décidé de vivre en couple, de vous jurer fidélité et de sucer la même bite toute votre vie, c'est très bien, je n'ai rien contre. Par contre, il faut savoir que le fait que vous soyez en couple ne me regarde pas moi. Pour faire claire, je m'en tape de votre couple, si par hasard je vous trouve sympa, ça ne sera pas parce que vous êtes en couple. Il y a une chose dont j'ai une "sainte" horreur, ce sont les gens qui font subir leurs problèmes de couples aux autres. S'ils se mettent en couple et qu'ils sont tout frustrés de devoir rester fidèles à la même bite ou à la même chatte, alors qu'ils brulent d'envie de gouter au fruit défendu...S'ils ont décidé d'être super faux cul avec leur sexualité, d'être frustré et de bien se coincer le cul avec des valeurs moyenâgeuse, c'est leur problème, pas le mien. Avant quand une personne me plaisait et que j'avais envie de me la taper, si j’apprenais qu'elle était en couple, je stoppais nette. Pourquoi ? Et bien quand j'ai compris que c'était super absurde de ma part de m'arrêter à ça, parce que ça n'est pas moi qui me suis soustrait à des normes disant que "tu ne convoitera pas la femme de ton prochain", je peux vous dire que ma vie sexuelle à pris un bel essor. Pour vous faire un petit chiffrage, je dirais que 90% des gens que je me tape, sont en couple et font ça à l'insu de leur conjoint. Et oui, le rêve merveilleux de la fidélité des coincés du cul qui se brise ! Est-ce que j'ai voulu me spécialiser là dedans pour atteindre une telle proportion ? Et bien pas du tout, c'est juste que les personnes en couple sont réellement les plus facile à baiser et c'est par la pratique que j'ai finis par l'apprendre. Oui, dans la normalité affichée de notre société bourgeoise judéo-chrétienne, ça devrait être l'inverse. Mais entre les valeurs affichées et la réalité, il y a souvent un monde...

Petite parenthèse, ce que je dis marche pour les personnes en couple et ça marche aussi pour les gens qui affichent un certain type de sexualité. Comme à la base je suis classé dans les mecs, parce que j'ai une bite, quand une nana me disait qu'elle était lesbienne, par exemple, je me disais que c'était du coup pas pour moi...Grave erreur ! C'est dans tous les domaines que les gens n'assument pas leur sexualité, moi je ne m'arrête à rien, ce qui me permet de me vider les couilles plus souvent. Après j'ai quand même des gouts, évidemment. Mais la seule raison qui fera que je refuse quelqu'un, est que cette personne ne me plaise pas, ça s'établit sur des critères subjectifs et non pas objectifs, genre, "je baise pas avec cette personne, parce qu'elle est pas hétéro, parce qu'elle est en couple, parce qu'elle est noire, parce qu'elle est blonde, parce qu'elle est cul de jatte..". Du coups, méfiez vous, si vous me voyez en soirée, sachez que si vous n'êtes pas hétéro, pas célibataire, noire, blonde ou qu'importe, je suis susceptible d'avoir envie de vous baiser et comme je suis plutôt un gros pervers, si je viens vous parler, c'est que j'ai plus ou moins une idée derrière la tête...Après vous pourrez toujours croire que c'est parce que vous pensez avoir une conversation intéressante, le rêve est permis !

Voilà, en tout cas, même si ça n'est pas mon truc à moi, je dois vous dire que je suis bien content que beaucoup de gens soient en couple. Je veux dire, dans ce monde souvent assez triste et monotone, il est toujours bon de trouver des sujets pour se marrer. Voilà ce qu'est la fonction du couple pour moi, après tout, chacun à bien le droit d'y trouver son compte !

7 juin 2011 2 07 /06 /juin /2011 14:25

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Chansons de GUSTAVSON en vidéo ici : lien vidéo Youtube nk

 

ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN :

La bisexualité (première partie, le film...)

La bisexualité (deuxième partie : la Conférence)

 

La conférence sur la bisexualité à laquelle j'ai assisté était très intéressante et bien animée. L'une des choses les plus importante à retenir, est qu'il faut globalement se sortir des références hétéro normées dominantes, ou homo normées d'une minorité, pour définir la réalité de sa propre sexualité et de ses préférences ou non préférences de genre, en matière de relations amoureuses ou sexuelles.

Non, tout n'est pas aussi simple et aussi binaire, que ce que la logique de ce monde, qui veut nous ranger dans des cases, veut bien nous faire croire. On peut être plus ou moins homo, plus ou moins hétéro ou plus ou moins bi, de la même manière que l'on peut aimer un jour la pizza et le lendemain ne plus en avoir envie et préférer une choucroute...Je pense que rien n'est vraiment fixé d'avance, prédéterminé, pas plus nos humeurs que notre sexualité.

Moi, pour le moment, je suis un con d'hétéro, ça me fait chier mais c'est comme ça. Ça me fait chier parce que pour moi, la société est une sorte de boussole qui indique le sud, quand mes gouts correspondent un temps soit peu à ce que la société veut de moi, ça m'énerve, je suis victime de mon esprit de contradiction, que voulez vous...Si je me considère comme hétéro pour le moment, c'est que je n'ai jamais eu envie d'un homme, pas un peu pour voire, pas avec certaines personnes plus qu'avec d'autres, jamais.. J'aurais bien aimé, l'idée ne me dérange pas du tout, mais pour l'instant, ça ne m'est jamais arrivé. Ça changera peut-être avec le temps, on verra bien, au moins si ça arrive, je n'aurais pas honte d'assumer. Certains disent que je suis une lesbienne masculine...Pourquoi pas, mais quand j'ai entendu que certaines lesbiennes pensent que certains mecs se servent d'un éventuel statut de lesbienne masculine pour se taper des lesbiennes, alors qu'ils sont hétéro, j'ai arrêté de vouloir me définir par un patronyme sexuel. Ceci est du simplement au fait, que je n'aime pas que l'on tente de trop ranger la sexualité dans des cases, que ça soit la société hétéro normée ou la population homosexuelle qui le fasse.

Beaucoup de personnes n'assument pas leur réelle sexualité. Ils se disent homo ou hétéro, mais ont pourtant des envies sexuelles dirigées vers les deux sexes. Ils n'assument simplement pas leurs envies dirigées vers un sexe, plutôt que vers un autre. Peut-être parce que le milieu dans lequel ils vivent accepte moins les homos, ou les hétéros, peut-être parce qu'ils définissent leur sexualité socialement...Selon moi, le social et la sexualité font partie du monde, l'un peu influencer l'autre. Mais à trop laisser influencer sa sexualité par les règles et normes sociales, on finit vite par avoir une sexualité de merde, frustrée et angoissante.

Combien j'ai vu de nanas se disant lesbiennes et qui sont en fait bi, de gars hétéros alors qu'ils ont eu plus d'une fois envie d'un homme et n'ont même pas osés se branler en pensant à eux. Hétéro et homo essayent de ranger tout le monde dans un monde binaire ou l'on est soit ceci, soit cela et ou le non choix est n'est pas vue comme une plénitude, mais comme un manque, une non finalisation de soit. Après, il existe des homos ou hétéro plus ou moins exclusifs, mais tout le monde n'est pas comme ça, qu'ils laissent les autres être ce qu'ils sont. Les bisexuels ne sont pas des traîtres à la cause gay, qui n'assument pas leur entière homosexualité et tentent de se maintenir un temps soit peu dans le modèle hétéro normé dominant. Les bisexuels ne sont pas non plus des envahisseurs qui seraient parmi nous, les hétéros, pour contaminer le monde avec leur homosexualité. Cette dernière réflexion me rappelle les commentaire d'un certain "Slem", à mon article "ragga anti homophobe" en lien ici :      Ragga anti-homophobe      (chanson en écoute : voire les commentaires absolument...)   
Sa théorie étant que les homos ont filés le Sida aux femmes innocentes par l'intermédiaire des bisexuels, par lesquels la maladie est passé des homos aux hétéros...Il était sérieux en plus !

A la fin de la conférence, m'ayant entendu parlé du fait que je n'arrivais pas à être autre chose qu'hétéro pour le moment, un homme m'a dit "Résiste !"...Cela m'a un peu interloqué, comme si ça devait être un combat, comme si on pouvait me convaincre que j'étais homo ou bi, alors que je ne le serais pas...Comme si on pouvait me forcer à l'être...Mais tout ceci n'est pas un combat des uns contre les autres, s'il y a combat, c'est qu'il y a refoulement, s'il y a refoulement, il y a frustration et de la frustration nait bien souvent la connerie...Peut-être y a t-il des hétéro vivant dans des milieux majoritairement bi ou homo, qui se sentent discriminés...L'inverse arrive plus souvent, mais qu'importe. Si on peut être bisexuel ou homosexuel, on peut aussi bien être hétéro...Il n'y a ni honte, ni fierté à l'être, c'est juste comme ça, peut-être ça le sera toujours, peut-être pas, qui vivra verra...

7 juin 2011 2 07 /06 /juin /2011 12:50

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ARTICLE SUR LE SUJET EN LIEN :

La bisexualité (première partie, le film...)

 

 

Voici ce que j'ai retenu de la conférence sur la bisexualité animée par IGOR et Alex :

Il y a souvent une confusion entre les préférences et les pratiques sexuelles. Dans la pensée commune, être bisexuel n'est pas se définir par rapport à ce que l'on désire, mais par rapport à ses pratiques sexuelles. Les hétérosexuels et la société hétéro normée se basent beaucoup sur les pratiques sexuelles pour définir si quelqu'un est homo ou hétéro. Si quelqu'un n'a jamais eu de pratiques homosexuelles, c'est donc un hétéro...

Dans cet univers hétéro normé, à commencé par l'univers familial, les bisexuels ont la particularité d'être en coming out permanent...Une fois on ramène un homme à la maison, une autre fois une femme, ensuite un trans..Une des question que peuvent se poser des couples bisexuels est celle-ci : "est-ce important que tu soit un homme ou une femme ?" et l'une des réponses pourrait être, "Non, c'est juste un problème technique". Voilà un des avantages d'être bi, on ne perçoit plus la personne, pour qui l'on éprouve des sentiments ou juste de l'attirance, comme un sexe, comme un homme, une femme, mais comme une personne dont le genre n'a plus vraiment grand intérêt. C'est un problème technique, un homme à une bite, une femme à une chatte...

Mais socialement, être un homme ou une femme ne se voit pas de la même façon. Il est douloureux de se voire toujours ramené socialement à son statut d'homme ou de femme, on y peut rien si l'on est un homme ou une femme, on peut difficilement changer la donne..La société, régit par le patriarcat et la domination masculine, fait subir cette prépondérance de la définition primaire de quelqu'un en fonction de son genre, à tous. Il ne suffit pas d'être bisexuel pour ne plus subir la domination masculine. L'archétype de cela, au sein des modèles de sexualité transmis par cette société, se trouve dans les films de culs. Lorsque ces derniers s'attaquent aux pratiques bisexuelles, c'est toujours un peu la même chose. On voit deux femmes qui se font des chatouilles (par ce que sans pénétration d'un phallus, ça n'est pas de la sexualité quand même !), puis le mâle dominant arrive avec sa bite, pour que ça devienne vraiment sérieux...

On taxe souvent les bisexuels d'instabilité, parce que cela rassure. Oui, il y a des bisexuels qui sont instables affectivement, mais pas plus que des hétéros ou des homos. La bisexualité n'est pas une instabilité en soit. Mais il est bien commode de se rassurer soit même, en couvrant sa propre instabilité par celle que l'on invoque chez les autres. Beaucoup de ces gens proclamant l'instabilité des bisexuels, ont des envies bisexuelles qu'ils n'assouvissent pas, mais qui font quand même d'eux des bisexuels refoulés. C'est le même principe avec l’infidélité, dont sont taxés allègrement les bisexuels. Ils ne le sont pas plus que les autres et en soit, le concept de fidélité ne devrait pas être marqueur de vertu, mais simplement de préférences dans ses pratiques amoureuses, ou sexuelles. Ces gens se disent fidèles mais ont envie de tromper leur conjoint sept fois par jours...Leur pratique est fidèle, mais leurs envies sont infidèles, tout comme parfois, leurs pratiques sont hétéro alors que leurs envie sont bisexuelles.

Pour ces gens, lorsque l'on se présente comme bisexuel non monogame, on a plus de pudeur, plus de gêne, on est ouvert à tout et on baise tout le temps, avec tout le monde... Comme on semble moins coincés que d'autres, on devient les confidents privilégiés de nos amis adultérins...Et bien non, les bisexuels monogames ne sont pas le genre de pervers que la société hétéro normée veut bien faire croire. Ils sont d'ailleurs souvent, bien plus stables affectivement, que ceux qui frustrent leurs envies pour mieux correspondre aux normes de la société patriarcale et binaire.

Dans un prochain article publié dans la catégorie "sexismes" du blog, j'émettrais plus en détail mes propres réactions issues de cette conférence sur la bisexualité.

6 juin 2011 1 06 /06 /juin /2011 22:52

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Chanson de GUSTAVSON en vidéo ici : lien vidéo Youtube nk

 

ARTICLE SUR LE SUJET EN LIEN :

La misogynie

La croyance religieuse

La manif des prostitués à Pigalle...

 

J'ai assisté à une conférence sur la bisexualité animée par IGOR et Alex, voilà ce que j'en ai retenu :

Ça a commencé par un film fait de témoignages de personnes bisexuelles, hétérosexuelles, ou homosexuelles, relatant de leurs expériences, de leurs opinions, par rapport à la bisexualité.

Selon Freud, nous sommes tous des bisexuels psychiquement. Dans l’enfance, nous avons tous eu des relations d'ordre amoureux avec nos petits amis, même si des relations sexuelles ne s'en sont pas suivies. Cela était tout à fait innocent et naturel, le genre de comportement qu'ont les enfants, des comportements innocents et naturels. Ensuite avec l’adolescence et l'ancrage des normes sociétales dans les comportements individuels, la bisexualité devient plus compliqué, surtout quand la société en question n'établit pas la bisexualité dans sa norme.

Dans les expériences individuelles relatées dans ce film, un homme évoque la complexité de la perception de la bisexualité, dans un univers familial hétéro normé. Les parents voient leur enfant ramener un homme à la maison, alors il est homo, puis il ramène une femme, alors il redevient hétéro...Et ça continue jusqu'à ce qu'ils abandonnent toute tentative de comprendre, leurs normes de compréhension étant estimés trop éloignés de ce qu'ils voient devant leur yeux, c'est à dire la simple vue de leur enfant bisexuel...Les pauvres, les normes sociétales ne les ont pas amené à comprendre cela, à appréhender cela, comme quelque chose de normal, puisque cela va à l'encontre de la norme commune établie...

Dans l'antiquité, la société n’était pas forcément hétéro normée. On pouvait se taper des petits jeunes, alors que l'on était marié à une femme, sans problème chez les grecs ou les romains par exemple...Du moins, dans les milieux de pouvoir...

Le film a ensuite évoqué l’échelle de Kinsley. C'est une échelle graduée de 0 à 6, 0 marquant l'hétérosexualité parfaite, 6 l'homosexualité parfaite et 3, la bisexualité de l'individu. Cet outil est intéressant dans la mesure ou il établit une certaine relativité de la sexualité. On peut être plus ou moins hétéro, plus ou moins homo, plus ou moins bi. La société nous amène plutôt à penser, qu'en terme de sexualité, on est absolument homo ou absolument hétéro et que la bisexualité ne serait qu'une sorte de phase de transition, pour passer d'un état à un autre. Cet outil de mesure s’affranchit donc en cela, de la norme bourgeoise et de ces présupposés, en matière d'orientation sexuelle des individus. Elle admet aussi la bisexualité comme une orientation sexuelle, au même titre que l'homo et l'hétérosexualité.

Le film diffusé a également évoqué quelques icônes bisexuelles, comme David Bowie, marié avec des enfants et qui pourtant, avait des relations avec des hommes et cultivait allègrement son côté androgyne. D'autres comme iggy pop ou encore Bryan Molko furent précurseur d'une culture bi.

Les témoignages de personnes bisexuelles évoquent aussi les avantages que leur condition leur procure. Elles évoquent que le fait de pouvoir tomber amoureux des deux sexes permet de mieux comprendre chacun, en se mettant à la place des autres. Quand on est avec un homme, on se met à la place de la personne en couple avec un homme et quand on est avec une femme, on se met à la place de la personne qui est en couple avec une femme. Ces expériences avec un homme permettent de mieux vivre sa relation avec une femme et inversement.

Avec la plus grande mise en avant de la bisexualité, la biphobie augmente. C'est presque logique dans une société ou l'exacerbation des peurs, en ce qui concerne toute transgression des normes sur lesquelles s'appuient la légitimation du système, est si fréquente. Cette biphobie concerne indifféremment les population homo et hétéro sexuelles. Beaucoup pensent que les bi sont dans une phase transitoire entre deux orientation sexuelles. La vidéo montre des réactions issues de micro trottoirs par rapport à cela. On voit un exemple d'hétéro donnant comme argumentation que la bisexualité est hypocrite et un exemple d'homo évoquant le fait qu'il a hésité quelques années entre hétéro et homosexualité et qu'à 18 ans, il a fait son choix. Les bi sont donc le symbole du "non choix"..."ou on s'assume, ou on s'assume pas...", "on préfère se cacher dans la bisexualité" (autre exemples de réactions des micro trottoirs..).

Les bi sexuels ont toujours existé, ils sont toujours passé plus inaperçu que les homosexuels absolus et ont, de ce fait, été moins radicalement discriminés par la société hétéro normée. Ils sont inclassables, ne choisissent par leur camp, on ne peut pas les exclure ou les inclure dans un système manichéen en terme d'orientation sexuelle. Ils sont de ce fait vus comme dangereux, susceptibles de succomber ou de faire succomber à tous les vices, tous les fantasmes. De ceci naissent nombres de préjugés comme celui que les bisexuels seraient tous libertins...

Les bisexuels sortent de la logique binaire des hommes contre les femmes, des hétéros contre les homos...Dans notre culture, il faut choisir l'un ou l'autre. Mais beaucoup ne veulent pas faire leur choix, alors pourquoi les y obligeraient-on ? Il y a aussi des espaces dans la société ordinaire, ou l'on peut facilement trouver normal la situation de gay ou de bi. Dans l'inconscient collectif, la femme est naturellement bi et l'homme naturellement hétéro. C'est ce dernier qui va rendre la femme hétéro. Il existe une Bande Dessinée intitulée 'Pascal brutal". Celle-ci met en avant un héros bisexuel, persuadé d'être une hétéro, ne se posant pas du tout la question de sa sexualité. Cette BD évoque au grand jour des comportement masculins clairement bi sexuels et totalement refoulés, des mecs ultra machos, se mettant à avoir des comportement montrant de façon flagrante leur attirance pour les hommes. On voit beaucoup ce phénomène dans le sport ou les petites tapes sur le cul et autre jeux de la biscotte (jeu consistant à se branler jusqu'à ce que tout le monde éjacule sur une biscotte, le dernier à sortir sa semence devant manger la biscotte...), sont légion. Pourtant, c'est dans ces mêmes lieux ou l'homo et la biphobie sont exacerbés. Ce qui m'amène à croire que les plus grand homophobes et biphobes sont les plus gros refoulés. Autre exemple, les calendriers de rugbymen, sport macho par excellence, ou des mecs posent comme des "tarlouzes intersydérales" (terme évoqué par frédéric Beguebeder dans le film).

Le film se conclue en disant que la bisexualité est une forme de sexualité complète, plutôt qu'une hésitation entre deux orientations sexuelles. On ne se rend pas compte (et ça c'est moi qui le dit) de la mutation sexuelle fondamentale qui a lieu dans la société actuelle. La bisexualité tend à se normaliser, alors qu'elle fut pendant longtemps bannie de toute norme sociétale. Le traditionnel, le réactionnaire se défend de façon véhémente, sentant le modèle qu'il veut continuer à défendre, comme seul légitime de se fonder en norme commune, s’effondrer. Mais le changement est inéluctable, la bisexualité est normale et est une orientation sexuelle qui sera partagée par de plus en plus de personnes, qu'elles se considèrent déjà bi, homo ou hétéro. Non pas que de plus en plus de gens vont se laisser convaincre, mais parce que de plus en plus de gens pourront vivre leur réel orientation sexuelle comme il l'entendent, car l’opprobre sera de moins en moins jeté sur eux. Comme Freud, certains pensent que nous sommes tous bisexuels, d'autres que non, qu'importe. L'important est que l'on ne refoule plus sa sexualité et que l'on puisse être bi, homo ou hétéro, sans être jugé comme un paria de la norme commune. A ce niveau, quand tout sera normal, la norme ne comptera plus...

Après le film il y a eu une conférence qui sera l'objet d'un autre article qui sera, tout comme celui-ci, publié à la catégorie "sexisme", du blog...

3 juin 2011 5 03 /06 /juin /2011 09:46

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ARTICLE SUR LE SUJET EN LIEN :

La prostitution

"Les putes" (La chanson de GUSTAVSON en écoute)

Le plus vieux métier du monde....le texte de chanson.

 

Elles sont là, elle manifestent et c'est bien légitime de leur point de vue. Elles défendent leur bifteck, leur gagne pain, leur profession, mise à mal par une réforme voulue par notre cher gouvernement de droite et l'ex féministe Roselyne Bachelot.

Cette manifestation me rappelle les manifestations et protestations des débitants de tabac, lorsque l'on augmente le prix des paquets de cigarette. ces gens là vendent du poison légalement dans leur boutiques, mais ne pensent pas à cela, ils pensent avant tout à leur gagne pain, leur profession, leur bifteck, leurs factures, leurs impôts, leur vie quotidienne...Les autres, rien à foutre, nous vivons bien dans un monde qui nous a appris à ne penser qu'à soit, quitte à marcher sur la gueule des autres..Ici, il n'y a pas assez de richesses pour tous, les riches s'en sont accaparés la plupart. Les restes ne suffisent pas aux autres, alors il faut se battre face aux autres en défendant de façon acharnée ses intérêts, sans penser à ceux des autres, ou à toute philosophie de vie, qui irait plus loin que le bout de son nez. 

La manif des prostitués, c'est un peu ça, des gens qui ne pensent qu'à leur petit commerce, qu'à leur gueule, qui se foutent des 80% de prostitués victimes des réseaux mafieux, se foutent du cautionnement de l'exploitation des êtres humains, de l'objetisation et de la marchandisation du corps qu'elles cautionnent..Le pire, c'est que ces prostitués et les assos participant à la manifestation, disent défendre les droits des prostitués victimes des réseaux mafieux, pour qui le fait de pénaliser les clients des prostitués ne changera rien, selon moi...Non, si elle peuvent être sincères dans leur démarche j'affirme et c'est mon opinion, qu'elles se trompent. La pénalisation des clients des prostitués ne fait chier que les rares prostitués indépendantes. Ce qui m'énerve dans leur démarche, c'est qu'elles tentent de faire une généralité de leur situation, ayant valeur d'exception dans la règle du proxénétisme et des choses immonde qui s'y passe..(tortures, rapports forcés, viol collectifs, avortements en enfonçant des éponges de formol dans la chatte, chantage aux papiers d'identité, à la santé des gosses...). Ces manifestants, se foutent de cela et ont juste les chocottes de voire la fréquentation de leur clientèle baisser, voilà tout. L'esclavage humain, la traite des femmes, ça ne les concerne pas, quand bien même la vitrine que les prostitués indépendant(e)s représente dans le cautionnement de cela.

Les clients ? Tout ce qui les fera chier m'enchantera, toute réforme visant à leur mettre des bâtons dans les roues, lorsqu'ils assouvissent leurs envies de consommation tarifée d'être humains, me ravis. Que cette réforme soit mal faite et voulue par un gouvernement dont les intentions sont surement malsaines, m'importe peu, si cette réforme met des bâtons dans les roues des clients des prostitués et de la prostitution en général, ça me va fort bien.

Oui, chacun fait ce qu'il veut de son cul, si quelqu'un a décidé de se prostituer, c'est son droit, la liberté de jouir de son corps. Si quelqu'un a décider d'exercer une activité cautionnant la torture et l'esclavagisme d'autres, c'est aussi son droit. Mais c'est mon droit de ne pas cautionner cela et de dénoncer le fait que la normalisation, la banalisation de la prostitution, cautionne et légitime une exploitation humaine qui va encore plus loin en entrant à l'intérieur du corps, de la sexualité des personnes.

15 avril 2011 5 15 /04 /avril /2011 08:32

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"Les putes" (La chanson de GUSTAVSON en écoute)

LE PLUS VIEUX METIER DU MONDE...

 

Dans l'univers médiatique, conçu pour relancer des débats ayant pour but principal d'en cacher d'autres, on a été amené à reparler de la prostitution...Ce thème est pratique pour les médias et les politiques car, qu'importe l'époque et le contexte existant, il peut toujours être relancé, car la prostitution existe depuis longtemps et a toujours trouvé ses détracteurs et ses soutiens...

 

Alors, de nombreux débats médiatiques fleurissent sur ce sujet et comme tout calendrier médiatique à son stimulus, celui-ci fut, comme la plupart du temps, une réforme gouvernementale envisagée...Roseline Bachelot, ancienne féministe des chiennes de garde, aujourd'hui dirigeante de l'UMP, parti des plus sexistes ou la plupart des hautes fonctions sont détenues par des hommes, tente de lancer un projet visant à pénaliser les clients des prostitués. Actuellement, ce sont les prostituées qui son pénalisés pour racolage, les clients, eux, ne sont pas inquiétés. Biensûr, les proxénètes tombent sous le coups de la loi, mais ils sont malin et tombent que trop rarement...Sauf pour le parrain de Marine Lepen (véridique...), qui vient de se faire arrêter pour proxénétisme...

 

Dans la prostitution, le corps de la ou du prostitué est un objet sexuel. Il perd donc son humanité et devient un outil de travail, un moyen de gagner son pain. Dans le travail en général, sa tête et son corps servent aussi d'outils, que l'on exploite pour accomplir sa tâche...Mais la prostitution va plus loin, puisqu'elle entre dans le corps humain, fait entrer le commerce dans les organes internes du corps, ce qui a des conséquences psychologiques bien plus importantes que le fait d'user ses muscles ou sa mémoire, afin d'en tirer profit. Hélas, la plupart du temps, ce ne sont pas les travailleuses du sexe qui tirent profit de leurs activités, 80 % de celles-ci, en France, sont étrangères, issues de réseaux mafieux, escalves torturés, drogués, dont on prend les papiers et la volonté, à force de mal traitance, pour qu'elles ne s'échappent pas du joug de leur proxénète et qu'elles continuent à leur rapporter jusqu'à peromption de la marchandise...Lorsqu'elles tombent enceintes, on leur fourre des éponges de formol dans le vagin, une sorte d'avortement très artisanal...Ca donne envie non ?

 

Et bien, il y a des tas de clients, qui perpétuent la tradition du "plus vieux métier du monde" et qui se tapent bien de savoir dans quelles condtions exercent les prostitués et quelle histoire de vie les a amené à pratiquer cette profession esclavagiste. Oui les clients des prostitués sont, tout comme les proxénètes, des esclavagistes. Ils ne produisent pas, mais ils consomment et font qu'il y a une raison de produire. Si les prostitués son pénalisés, le proxénétisme puni par la loi, je ne vois pas pour quelles raisons les clients ne le seraient pas...Parce que nos dirigeants en sont pour la plupart ? Que la fréquentation des prostitués explose une fois par mois, à Strasbourg, à chaque sessions du parlement européen...?

C'est exotique des filles de la rue, c'est exitant, ça change de sa vieille bourge coincé du cul...

 

Les arguments de ceux qui sont contre la pénalisation des clients sont pitoyables...Ils parlent des hommes en misère sexuelle, qui ont besoin des prostitués comme d'un médicament. Le corps humain n'est ni un médicament, ni un substitut à sa frustration, ces gens là n'ont qu'à se branler bordel !

 

Ils disent aussi que c'est le libre choix des prostitué(e)s, de faire ce qu'elles (ils) désirent de leur corps. Tout à fait d'accord, chacun fait ce qu'il veut de son cul, le problème, c'est qu'une très grande majorité des prostitués, font cela sous la contrainte, qu'elle soit celle du proxénète, de l'addiction aux drogues, de contraintes économiques...Oui, n'importe quel travail se fait également par contrainte économique, pour tous ceux qui ne sont pas passionnés par leur profession, mais la prostitution, comme je l'ai dit plus haut, va plus loin, dans la marchandisation du corps. Il faut mettre des limites à notre exploitation, ne pas l'institutionnaliser plus loin qu'elle ne l'est déjà...Sinon, c'est la voie ouverte pour la légitimation d'autres exploitations, plus grave encore, comme la vente d'organes, d'enfants, l'escalvage pour dette..Ce qui existe déjà, mais est encore admis comme scandaleux par une sorte de morale commune...

 

Effectivement, la réouverture des maisons closes, permettrait, peut-être, aux prostitués de travailler dans de meilleures conitions, vu que de toute façon, elles travaillent. Mais hélas, je pense que l'escalvage continuerait de la même façon derrière des murs...

 

On dit aussi qu'il ne sert à rien de pénaliser les clients, car ils continueraient à assouvir leurs pulsions hors des frontières de ce pays...Quel argument bidon ! Est-ce que parce que les autres sont cons, ça nous oblige à être con nous même ?

 

On parle aussi du fait que la prohibition a des effets terribles et fait le jeu des mafias. Aux USA, dans les années 30, ils ont prohibés l'alcool, ce qui a eu des effets devastateur, en faisant grimper le marché noir des produits freulatés, aux effets très néfastes sur la santé publique...La prohibition du cannabis n'est pas non plus très efficace en France puisque dans notre pays, le plus répressif d'Europe en la matière, la consommation est la plus forte, proportionnellement au nombre d'habitants...

Je répond à cela, que j'aimerais bien que les clients prennent plus de risques, que la consommation de prostitués soit dangereuse pour eux aussi. Pour l'instant, il est très facile de cautionner l'escalvagisme en étant client. Les prostitués, travaillent déjà dans des conditions désastreuses et scandaleuses, j'ai la conviction que la plupart des clients des prostitués sont de gros lâches, qui iraient se branler sur internet si la consommation de prostitués pouvait être dangereuse pour eux...Ils ont des situations, des familles, tant qu'il n'y a pas de risque ça va, mais ils ne risqueraient pas leur vie pour leurs pulsions sexuelles, pour la plupart...

 

Les prostitués, il faut les aider, la grande majorité ferait autre chose, si ils (elles) en avaient la possibilité. Et si vraiment il en reste qui veulent, en toute connaissance de cause, vendre leur cul, je veux bien ouvrir quelques maisons closes, avec un sous préfet qui en serait le directeur, comme ça, il aura moins de chemin à faire pour aller tromper sa femme !

12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 12:50

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Le fascisme

Un coeur en plastique

Hétérodoxie

PETIT MESSAGE A CARACTERE ANTI HOMOPHOBE.

 

Ah la misogynie, le fait de considérer les femmes avec mépris, voire hostilité, comme des êtres inférieur aux hommes, tout juste bonnes à effectuer certaines tâches, pour lesquelles elles ont été programmé. Les hommes ne peuvent pas survivre sans les femmes car elles possèdent le sacro saint pouvoir de la procréation. Notre société sous domination masculine depuis des millénaires, à donc dévolu aux femmes, cette mission à laquelle ont été ajouté, celles d'éducation des enfants, d'accomplissement des tâches ménagères...

 

Et si la société patriarcale changeait de mode de fonctionnement ?

La normalisation du travail des femmes ne s'est pas fait sans heurts, bien qu'elles gagnent toujours en moyenne, 30 % de moins de salaire que les hommes à fonction égale. La légalisation de l'Interuption Volontaire de Grossesse (IVG), permettant aux femmes de disposer légalement de leur corps, selon leur choix, fut une grande avancée, toujours pas admises par certains se cachant derrière la misogynie de certains préceptes religieux.

 

Hélas, le sexisme, la misogynie et l'archaïsme d'une domination masculine, que certains ne veulent pas voire disparaître, perdurent actuellement et il est grand temps que l'on s'en débarasse. A bien des niveau, la société fonctionne sur des valeurs morales propres au moyen âge, bien que le décor ai changé...Bien des discriminations que subissent les femmes, ont leurs racines profondément ancrée dans les valeurs dogmatiques des religions monothéïstes, voyant la femme comme un objet de l'homme. Je n'ai rien contre les religions tant qu'elles se bornent à la spiritualité et qu'elles ne viennent pas s'insérer dans la temporalité, en tentant de normer certains comportement sociétaux, dans le but de manipuler les masses, pour mieux les dominer. Aujourd'hui, les états ont remplacé les églises comme dominateurs dogmatiques, mais ne se sont pas détâchés de certaines valeurs morales mysogine et également homophobes inspirées des religions (mariage ou adoption homosexuelle illégal et les projets tendant à rendre cela légal, mal vus de beaucoup...)

 

La morale de la société évolue, certes, mais pas assez vite à mon goût...Et encore, je trouve que ces derniers temps, on est plutôt en train de régresser...Les fascismes ont la part belle dans les débats publics et l'on répond à certaines pratiques mysogine, non pas pour les dénoncer, mais pour s'en servir de caution à l'exacerbation d'un certain racisme ambiant. Oui on peut pratiquer une religion sans être misogyne, si l'on se borne à l'aspect spirituel de celle-ci, sans vouloir à tout prix reglementer les comportements des autres qui devraient suivre la même orthodoxie que la sienne. hélas, se genre d'inquisition sociétale est bien plus souvent subie par les femmes, mais elle l'est également par les homosexuels et les gens qui ne pratiquent pas la même religion qu'un fasciste religieux...

 

Il est temps de remettre la religion à sa place ! Il est temps de remettre la misogynie à sa place ! Il est temps que la société fasse évoluer sa morale archaÏque, même si toute morale ne l'est pas, bien au contraire...Toute morale qui amène à une discrimination, ici sexiste, l'est dans tous les cas...

 

Exemple de morale de comportement que j'estime, la protection de la jeunesse : Coucher avec une fille de" 15 ans : la passivité devant l'insoutenable

Coucher avec un jeune de 15 ans : loi, morale et éthique...

5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 13:19

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Chansons de GUSTAVSON en vidéo ici : lien vidéo Youtube nk

 

Lien sur cette affaire dont cet article dont cet article est la réponse aux commentaires qui en ont été faits :

Coucher avec une fille de" 15 ans : la passivité devant l'insoutenable

 

Quand un homme de 24 ans couche avec une fille de 15 ans, ça m'énerve...Je trouve même cela intolérable mais à la vue des articles en lien, que j'ai écris sur le sujet, je me rend compte que je ne suis pas loin d'être le seul. Hier, encore une fois, j'ai du me justifier de ces articles que j'ai écris. On m'a encore une fois, opposé à mon argumentaire, un des nombreux exemple de personne qui ont trouvé bénéfiques, leurs relations avec des adultes alors qu'ils avaient 15 ans. Je conçoit bien que cela puisse être perçu comme sympathique, lorsque l'on se met à la place d'un jeune (homme ou femme), ayant des relations sexuels avec quelqu'un de plus âgé (homme ou femme). Oui, moi aussi, à 15 ans, j'aurais aimé coucher avec une fille de 24 ans, ça m'aurait certainement plu, mais dans ce débat, je ne reproche rien aux jeunes, qui pour moi sont les victimes..C'est à ces vieux zozos (homme ou femme), qui sont frustré de ne pas trouver de partenaires de leur âge, ou simplement majeurs, qui viennent faire profiter de leur frustration, des mineurs, de parfois 15 ans, dans l'adolescence, qui seront des victimes consentantes tout à fais malléables, influençable et peu contrariantes.  

Franchement, mon but n'est certainement pas de le condamner à mort, cet homme de 24 ans...Je réagis simplement d'une façon radicale, contre balançant avec la passivité dont fait preuve son entourage à l'égard de son attitude et mon entourage, à l'égard de son attitude lorsque j'évoque le sujet. Il n'a que 24 ans, mais il a quand même 24 ans, age auquel la société et la morale juge que l'on est responsable de ces actes. Que je fasse ou non parti de l'éducation nationale ne change rien à la question, mais cet état de fait, me fait travailler chaque jour avec des jeunes, et me rend conscient qu'à un certain âge, ils ont besoin que la société et la morale les protège sur quelques points. Parmi ces points, il y a le détournement de mineurs, qui a lieu lorsqu'un adulte, qui a un ascendant psychologique sur un jeune, profite consciemment ou inconsciemment de ce fait, pour coucher avec, ou simplement le manipuler...

Il est vrai que je n'ai pas du tout traité de l'autorité parentale dans ce texte. Ils peuvent être au courant et consentants, donner leur approbation...Ils peuvent ne pas être au courant, l'apprendre et ne pas adhérer, dans ce cas, s'ils portent l'affaire devant la justice, l'homme de 24 ans est dans la merde...Ils peuvent également ne jamais être au courant. J'ai appris qu'après 15 ans, si la relation se passe dans le consentement mutuel et que l'autorité parentale n'a rien à en dire, la fille de 15 ans et l'homme de 24 ans peuvent avoir des relations, sans que la lois ne s'en mêle...pour la morale, c'est une autre histoire, à mon avis..

Attention, je tien à préciser qu'il en irait de même si c'était une fille de 24 ans qui coucherait avec un jeune homme de 15 ans, ou dans une relation homosexuelle de deux individus de ces deux âge. Ce qui m'incommode, c'est le détournement de mineur. Il n'est ni question de sexisme, ni d'homophobie, ni d'archaïsme de quelque sorte que ce soit. La protection de la jeunesse me parait fondamentale, la société doit y pourvoir par la loi, la morale et l'éthique de chacun.

Ici, cet homme de 24 ans est susceptible de ne pas être hors la loi, la majorité sexuelle étant de 15 ans et 3 mois, cependant, il a, selon moi, passé les limites de ce que peut admettre une morale commune, qui je m'en rend compte, est loin d'être commune à tous...Toutefois, j'aimerais qu'elle le soit, en attendant, mon jugement se réfère à mon éthique personnelle. Mon éthique m'est personnelle et la morale est collective, mon éthique n'est pas la morale sur ce point là et ça me choque. Mon éthique n'est pas non plus la loi, mais mon idéal aurait été que la morale puisse trouver tout aussi choquant, le fait qu'un adulte puisse avoir une relation sexuelle avec une jeune fille de 15 ans, de 14 ans, de 13 ans...On en fait du chemin entre 15 et 18 ans, pourtant, la société ne fait guère de distinction entre ces âges, en matière de détournement de mineur...Oui, peut-être que cet homme de 24 ans est aussi mature que cette fille de 15 ans, c'est même probable, mais la société doit mettre des limites objectives à ce que l'on a le droit de faire, ou de ne pas faire, suivant une certaine morale en la matière. A 24 ans, comme à 15 ans, la société nous donne des responsabilités équivalentes à nos âges, qu'importe la subjectivité des maturités d'esprit, il est nécessaire d'y mettre des critères objectifs numériques, bêtes et méchants...

3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 20:56

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Chansons de GUSTAVSON en vidéo ici : lien vidéo Youtube nk

 

Un prof qui se fait tailler des pipes par ses élèves de 15 ans... Article sur une histoire vraie...

Le fascisme

 

Faire des projets avec d'autres persones que soit, c'est souvent se retrouver confronté à d'autres attitudes, d'autres postures, d'autres caractères, qui nous contrarient ou qui nous subliment, qui nous apprennent ou qui nous décomposent. Richesses et oppositions, don de soit et expériences qui s'enrichissent du contact des autres et de ce que l'on aurait pas fait soit même, de ce que l'on aurait pu effectuer seul. Et puis, il y a les limites, des comportements, des attitudes, qui restent totalement incompatibles avec notre logiciel, une contradiction trop forte entre ce que l'on est, ce que on est capable de cautionner et l'autre dont un acte, un geste, des mots, nous semblent insoutenables, scandaleux, révoltants...

Que faire ? Excuser l'inexcusable, pardonner l'impardonnable ? Tout est relatif et j'ai appris à mes dépends que mes révoltes, mes limites, sont très loin d'être celles de tous, ni de ceux qui comètent des actes que je réprouve, ni de ceux qui ne les comètent pas mais qui les justifient, les excusent, les comprennen, voire les trouvent normaux...

Ce que je dis ici est généraliste, colle plus ou moins avec tous les sujets, dans les attitudes et les postures que je pourrais avoir à leur encontre, si ces derniers touchent à mes limites subjectives, propres à ma personne, conséquences de mon histoire de vie. Néanmoins, toutes subjectives qu'elles soient, mes limites bien que m'étant propre, se définissent également par quelques attitudes, que j'estime fondamentales, que j'attends de la part de mon entourage. Si elles vont à l'encontre de ces limites fondamentales, qui font de moi ce que je suis, ces personnes s'éjectent automatiquement de ma vie personnelle, de mes activités, de mon estime...

Voici le sujet ici : Coucher avec une fille de 15 ans quand on en à 24 est-il tolérable ? Puis-je continuer à exercer des activités en collaboration avec ces personnes sachant cela ?  Ma réponse est non, j'estime que cette réponse devrait être la réponse de tous, mais ça n'est pas le cas, suite à quelques discussions, il se trouve même au contraire, que mon attitude est plutôt une exception. Non seulement je refuse de collaborer avec ces personnes, parce que je ne veut pas être complice en légitimant par ma passivité une telle attitude, mais je leur refuse même tout droit d'être dans ma vie hors de ces activités. Cette personne, des gens vivent avec, voient tout ça et ne font rien, au mieux, lui émettent-elles quelques reproches. D'autres ne voient pas le mal, après tout la fille est bien contente...A chaque fois que j'en parle, on me parle de cette fille et pas de l'attitude de ce grand cornichon, frustré de la vie, égocentrique formulant des propos sexistes et misogynes à la moindre contrariété, n'arrivant pas à assouvir ses besoins hormonaux avec des filles de son âge et qui compense en couchant avec une enfant ayant l'âge d'être élève en classe de troisième. Cette fille à 15 ans putain ! J'en ai rien a foutre de son avis, aussi mature puisse t-elle être. Elle n'est pas responsable à cet âge, elle ne l'est pas légalement dans tous les cas, c'est pour cela qu'il existe une majorité sexuelle. Le responsable de cette situation insoutenable, c'est l'adulte, aussi zozo soit-il, il a la responsabilité de son âge, moralement ainsi que devant la loi. Les gens vivants avec lui sont complices, consciemment ou inconsciemment, les gens exerçant des activités avec lui, ce qui fut mon cas, le sont également.

Mais voilà, nous vivons dans une société passive, qui dans sa grande majorité, n'est pas révolté quand elle entend qu'un homme de 24 ans couche avec une fille de 15 ans. Un homme qui est majeur depuis 6 longues années qui couche avec une fille qui est encore au collège, rendez-vous compte ! Quand j'en parle, ça ne choque personne ! Je trouve ça complètement dingue ! Je travaille dans l'éducation nationale, tous les jours, j'entends des vieux pervers en train de fantasmer sur les petits culs des lycéennes, c'est pitoyable..Mais eux, au moins, ont le mérite de ne pas passer à l'acte, ne le feront sans doute jamais. Passer à l'acte est un geste fort, conscient, qui transforment en réalité les fantasmes malsains que nous avons tous. Passer à l'acte dans ce domaine, est un geste fort que je ne puis cautionner dans la passivité, comme la plupart des personnes à qui j'ai parlé de ça. On m'a même traité de fasciste, l'excuse habituelle des gens passifs, lorsqu'on les expose radicalement devant leur passivité scandaleuse.

En résumé, je ne traine pas avec des semi pédophiles, je ne cautionne pas leur comportement et leur attitude. Je ne cautionne pas non plus la passivité des personnes au courant dans son entourage, ni celle de ceux à qui je parle de cela et qui justifient ce type d'attitude. La passivité devant l'insoutenable est inhérente à l'individualisme exacerbé, mis en valeur par notre société manipulatrice. C'est elle qui permet à la manipulation des masses de perdurer, c'est elle qui permet aux choses scandaleuses de perdurer. Je ne peut pas écrire ce que j'écris et cautionner dans ma vie, les attitudes que je dénonce dans mes écrits.

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