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25 juillet 2011 1 25 /07 /juillet /2011 16:49

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ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN .

Exécution ! Ou l'histoire de la vie des slips...

Analyse des discours de Sarkozy

Discours de droite...

La peur...Des romains à nos jours...

Contestation contre les contestations officielles...

 

Et que l'état religionnaire nous apporte la tranquillité, la sécurité et la salubrité publique, à la manière dont Jésus apporta les poissons à la foule affamée et qu'importe le nombre, puisque dieu peut tout, il multiplie.. Soyons tranquilles, soyons protégés et soyons propres, grâce à la main qui nous nourrit et qui n'aime point que l'on crache dans la soupe, même les légumes qui sont mixés à l'intérieur n'aiment pas ça, que l'on crache dans la soupe.

 

Pourtant l'hyper salivation déborde de ma bouche, écume sur mes lèvres, comme si un renard m'avait mordu le cul pour me refiler la rage. Attention, la rage c'est contagieux, ça peut contaminer jusqu'à des légumes mixés, tel des bactéries E Coli qui n'auraient pas eu mieux à foutre que de venir coloniser un putain de bol de soupe. Heureusement, il existe les Tupperware et les frigos étanches, pour protéger les bols de soupes qui ne seraient pas déjà en train de se faire digérer et que l'on se réserverait pour le lendemain.  Il existe aussi les états religions, les systèmes économiques capitalistes, s'imposant comme seule voie possibles pour les âmes...Ô fidèles sociétaires, ne vous éloignez pas de la voie du bol de soupe, ailleurs c'est dangereux, ailleurs c'est étranger, ailleurs c'est  non conventionnelm par rapport aux bonnes conventions de la religion qui a fait de vous ce que vous êtes devenu. Par quelle ingratitude extrême pourriez vous vous en éloigner ? Alors que vous avez tant profiter de la Sainte doctrine protectrice et esclavagiste, issue des états et des économies standardisées< Votre role est ici de perpetuer au plus grand bénéfice des maîtres étalons, définissant les Saintes valeurs et les hérésies économiques

Que d'arguments pour vous maintenir dans le giron des officiels, des Ben Laden et des tueurs norvégiens, en veux tu, en voilà, des racailles de banlieues venant piquer le sac des petites vieilles...Des crises économiques de ceux qui n'ont pas écouté les sociétés privées de notation, foutant des peuples entiers dans la merde au nom du profit immédiats des actionnaires.. Des bulles spéculatives créant des famines en Afrique et foutant des gens à la rue aux USA.... Qu'ils existent ou pas, l'important n'est-il pas de créer ces exemples, afin qu'ils entrent dans votre imaginaire. Cauchemardez de ce qui pourrait vous arriver en cas d’obéissance amoindrie, guettez le sort des malheureux, des exclus, des bannis de la bonne sociabilité. Mais tant que vous resterez tranquilles, vous n'aurez rien à craindre, vous resterez des esclaves bien nourris, aux marges de manœuvres factices, vous faisant croire que vous consentez à votre propre déclin. Et voilà comment les gens lésés en arrivent à voter pour leurs bourreaux, il suffit de leur faire peur, de les sous cultiver, de les sous informer et de mettre à la place de tout cela, quelques propagande mettant le système en place au rang de religion inéluctable. La passivité est l'amie du fatalisme, l'idéalisme est dénigré et c'est bien normal, les idéaux des uns, ne sont pas les idéaux officiels, reliques devant lesquelles pullulent cultes et processions. 

Nous sommes ici au purgatoire des dieux bourgeois, vous devez expier vos pêchés dans l'esclavagisme inconscient...Pour en arriver ou ? Pour en arriver ou ? Pour en arriver à avoir passer toute une vie à vous faire couillonner...

17 juillet 2011 7 17 /07 /juillet /2011 12:43

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ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN :

A côté de la plaque !

Contestation contre les contestations officielles...

La révolte des bacs à fleurs

 

L'esperanto, c'est une langue crée de toute pièce par un type à la fin du 19eme siècle. Je ne sais pas comment cette idée lui est arrivé dans la tête, est-ce qu'il en avait marre de devoir se coltiner l'apprentissage de langues vivantes chiantes de multiples exceptions aux règles qu'elles se fixent ? Est-ce qu'il a eu un flash ou dieu lui a parlé dans une langue que seul son alcoolisme de la veille pouvait interpréter ? Est-ce que ça l'a pris comme une envie de chier, genre "tien aujourd'hui je vais aller faire des course et puis tien...Inventer une nouvelle langue..."

En plus, ce mec à lancé une mode à son époque, puisque toute une série d'autres tarés ont commencé à se pencher sur le langage, en voulant inventer de nouveau mécanismes en la matière, ou comme Tolkien, dans le seigneur des anneaux, inventer des langues elfiques, mélange de gallois et de finlandais, qui ne seraient utilisées que dans son putain de bouquin...Pourquoi n'a t-il pas décidé que ses putains d'elfes parlent le suisse allemand, ça fait pas assez extraterrestre pour lui le suisse allemand ?  Pourquoi vouloir inventer une langue, ça ne lui a servi à rien, ça n'a en rien servi son oeuvre. Alors je ne connaît pas ses intentions réelles, peut-être était-ce pour se la péter en disant "t'as vu j'ai j'ai inventer une nouvelle langue...", peut-être était-ce pour assouvir une sorte de besoin de collectionneur, qui voudrait créer un monde de toute pièce dans son imaginaire, en empruntant le moins de chose possible au monde réel dans lequel il vit. Dans tout les cas, selon moi, c'est beaucoup de temps de perdu pour pas grand chose. Ca me rappelle ces gens que 'jai croisé dans des ateliers d'écritures, qui n'avaient de cesse de vouloir se conformer à certaines normes littéraires. Ils se référençaient à toutes les normes existantes pour dire qu'une nouvelle est une nouvelle, un essai est un essai et puis il y avait les new western, les machins trucs, les choux fleurs en boite...Un mec voulait même faire exclusivement des nouvelles de 3333 mots, alors je m'imaginais le temps que ce type perdait à compter ses mots, à supprimer des phrases ou a en rajouter pour que sa putain de nouvelle fasse 3333 mots...Oui, c'est totalement absurde, c'est l'absurdité d'un collectionneur, c'est l'absurdité de la mise en avant de la forme sur le fond..C'est absurde et ça ressemble à l'absurdité de vouloir créer une nouvelle langue alors que le suisse allemand existe déjà...Créer une nouvelle langue n'est pas révolutionnaire, c'est simplement créer une nouvelle norme de langage qui prend les anciennes en référence. Une révolution en la matière serait de créer un nouveau moyen de communication qui ne serait pas une langue, qui se libérerait de tous les codes du langage. On pourrait par exemple échanger en se roulant à poil par terre, tout en se balançant des cartons vides à la gueule avec un choux fleur sur la tête accroché à un élastique.

L'esperanto, c'est une nouvelle langue, une langue inventée de toute pièce par un seul mec seul chez lui. C'est une langue qui a supprimé toutes ces exceptions qui font qu'une langue est dure à apprendre, c'est une langue qui n'est issue d'aucune culture, d'aucune tradition et qui peut être tout aussi facilement apprise par n'importe qui, issu de n'importe quelle culture, utilisant au par avant n'importe quel alphabet...Justement, il est bien là le problème. Comme vous l'avez remarqué, depuis la fin du 19e siècle, il n'y a pas eu de révolution de l'esperanto, cette langue n'a pas envahi les habitudes communes de langage du monde entier, alors que c'est une langue pratique et facile à apprendre, pourquoi ?

C'est simple, c'est simple comme la culture, c'est simple comme les traditions, c'est simple comme l'histoire des sociétés. L'esperanto, c'est de la merde, c'est comme un musée avec rien dedans. La langue est la conséquence d'une culture, on ne peut pas créer une langue vivante de toute pièce, on peut tout au plus créer une langue morte née. Oui, il y a quelques millions d'adeptes de l'esperanto dans le monde, surtout en Chine ou ils doivent être 10 millions...Sur combien d'habitants en tout dans le pays !?... Ils font des réunions esperanto et c'est sympa et ça ne mange pas de pain et ça ne dérange personne. Mais pour créer un langage universel, universellement parlé, il faut que cette langue se base sur quelque chose, sur des expériences communes, il faut que ce langage ai une histoire.

L'esperanto, c'est un outil qui pourrait servir, mais qui au final ne sert pas à grand chose de plus qu'à faire des réunions de quelques rares adeptes à l’échelle mondiale. Mais pourquoi pas, il existe bien des réunions de la confrérie des amateurs de gigolette de veau après tout...Avec l'esperanto, on a créer un outil qui ne sert à rien, si ça n'ai à faire de l'absurde, mais je ne suis pas sûr que cela ai été la volonté de son concepteur...Mais l'absurde involontaire, c'est bien aussi, parce que c'est de l'absurde quand même et qu'ici, s'il ne sert à rien, au moins il ne fait pas de mal.

4 juillet 2011 1 04 /07 /juillet /2011 15:26

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ARTICLE SUR LE SUJET EN LIEN :

Contestation contre les contestations officielles...

Les néolibéraux et la guillotine

Arrêt maladie : Une assurance que l'on paye chaque mois !

 

"Le travail c'est la santé, ne rien faire c'est la conserver, tous les accrocs du boulots, feront pas de vieux os"...Il y a parfois dans les vieilles contines des relans de philosophie insoupçonnés.

Le travail, le travail, tous le monde y passe le plus claire de sa semaine et ça n'est pas fini, avec la libéralisation de l'économie, c'est déjà le samedi et bientôt le dimanche. Fini les week-end en famille, les rendez-vous associatifs, les sorties intempestives des jeunes âmes en mal de sensations fortes. Fini ! Ça sera tous au taf et le temps qui restera servira à digérer son taf du lendemain...

De la reconnaissance, pour le travail que l'on fait, pour notre approbation silencieuse et passive à notre propre exploitation ? Pensez-vous ! La seule reconnaissance que l'on puisse avoir pour des esclaves, c'est de les laisser en vie, car il en va de l'intérêt des exploiteurs. En effet, à quoi leurs serviraient les esclaves morts ! Un peu de nourriture aux cochons, puis après ? Alors on les nourris, comme des cochons affamés, on les nourri juste assez pour qu'ils aient l’énergie de rapporter à la croissance des intérêts de la caste esclavagiste...Mais pas trop, pour qu'il ne viennent pas à réfléchir sur leur condition.

Voyez la révolte de Spartacus. Celle-ci est née dans un camps ou les esclaves étaient plutôt bien traité par rapport aux modèles d'élevages en vigueur. Laisser du répit, du temps de l'énergie, pour faire autre chose que d'être exploité physiquement, nerveusement, c'est donner des marges de manœuvres à toutes contestations éventuelle.

Le pouvoir d'aujourd'hui est encore plus malin, puisqu'il crée des contestations factices, il dirige lui même la contestation pour que les envies naturelles d’aspiration à la liberté et à l'égalité des masses, se dirigent naturellement vers là ou ça arrange la nomenclature bourgeoise qu'elle aille. Alors on a l'impression que l'on conteste, que l'on se révolte et pourtant, toutes ces contestations, ces révoltes institutionnelles ne font que se cantonner aux règles imposées par le pouvoir auquel elles croient s'opposer. Et les hordes de moutons s'en vont piailler leur désespoir de façon élégante, sans trop déranger dans la rue. Et l'on s'inscrit en tant que personne qui conteste dans quelques institutions estampillées "contestation", dans quelques partis dit de gauche. On se veut acerbe, sans concession, vrai...Mais malheureusement pour eux, le mal être de ces gens est sincère, leur volonté de s'opposer réelle, mais manipulée par un état cynique, qui se gausse de voire à quel point la crédulité amène à la déraison.

Alors on fait comme on peut, on travaille parce qu'on a pas le choix, on doit bien vivre, manger, dormir et pour cela, pas le choix, il faut bosser si l'on ne veut pas vivre dans l'illégalité avec tous les risques que cela comporte. On peut aussi être rentier de naissance, mais si on l'est, on fera forcement parti de la caste des privilégiés exploiteurs, caste d'où l'on est amené que très difficilement à contester ses propres privilèges..Mais bon tout arrive, après tout, il y a bien des esclaves qui sont habitués à être esclaves de générations en générations, qui sont élevés pour devenir de bons esclaves et qui finissent par se révolter...

Quand on a pas le choix de bosser ou pas, se détacher émotionnellement de son travail permet de se libérer quelque peu de ses chaines. Là ou le fardeau pèsera, trainé par nos jambes, il sera moins pénible à supporter dans notre tête, c'est une façon de se sentir plus léger, de prendre du recul sur l'absurdité de la condition dans la quelle on vit et dans laquelle on accepte d'évoluer. Après tout, déconsidérer une obligation déconsidérante, est un premier pas vers une meilleure considération de soit.

J'en vois, j'en ai vu et j'en verrais certainement encore longtemps, de ces gens qui mettent toute leur bonne volonté à ce que leur tâche professionnelle soit accomplie de la meilleure façon possible. Ils sont braves, dure au mal et ils bossent comme des dégénérés. Pendant ce temps, le système ne fait que renvoyer à leur gueule, brimades, déconsidération, stress et salaire de misère. On leur crache à la gueule et ils disent merci. Voilà qui est révoltant, quand on le sait, quand on se rend compte que ce traitement est révoltant...Et il l'est, je ne vous demande pas de me croire, je vous demande de vous regarder, de nous regarder et de prendre conscience de votre dignité.

Le travail c'est la santé des autres, mon conseil est de penser à la votre, parce qu'il n'y a que vous pour y penser !

24 juin 2011 5 24 /06 /juin /2011 17:40

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Arrêt maladie : Une assurance que l'on paye chaque mois !

La précarité au travail normalisée

 

Je suis là et je suis victime de l'être. Je voudrais être ailleurs, mais je suis ici, malgré moi, dans une sorte d'obligation. La nature aurait amené mon corps fatigué à rester dans sa couche, ou il n'est pas assez resté ces temps derniers, mais la société civile à ses obligations, que la raison et l'anatomie humaine ignorent..

Alors je suis sorti pour me trainer chez le médecin, obligé que j'étais, de justifier cette absence sur mon lieu de travail à mon employeur, pour que mon abandon de poste se transforme en arrêt maladie légitime...Je m'étais donc levé, tombant dans les genoux, galérant jusqu'au bus, me roulant à son tour jusqu'au cabinet médical.

Une fois arrivé, la secrétaire m'annonce la bouche en cœur, que le médecin ne prend que sur rendez-vous et moi, je n'avais pas pris rendez-vous, puisque je n'avais pas prévu ma chute de tension soudaine de ce matin. Alors, après avoir lourdement insisté, aussi lourdement que mon corps me l'ai permis à ce moment là, on m'a casé entre deux rendez-vous, à 9h45. Il est 8h, j'aurais le temps de faire autre chose, mais pas la force, alors j'attends là, le cul posé sur cette chaise de salle d'attente.

J'ai le temps de penser, d'écrire, d'aller prendre un café degueu à la machine, pour que l'envie de vomir se rajoute à mon mal de crâne et mes pensées morbides. Je pense à ce qui m'a amené là, dans cette salle d'attente ou je perd mon temps. Je pense à ma fatigue et à ce qui la cause... A ce qui vaut la peine que je sois fatigué et à ce qui ne la vaut pas, que je songe d'arrêter de faire, afin d'éviter de me pourrir la vie pour des conneries.

De la précarisation, voilà de quoi je suis victime. A la fin d'un contrat de un an, il est facile pour l'employeur de profiter du mercato qui arrive, pour user de certains moyens de pression, pour que l'employé donne le meilleur de lui même, voire plus, sans reconnaissance aucune...Ainsi fleuriront les arrêts maladie, une fois que toute l'énergie du travailleur sera pompée. Et même quand on a pas la niaque, on subit ces mauvaises ondes et la fatigue morale qui en résulte n'en est pas moins intense. Tout ceci, 38h par semaines, à faire un travail sans avenir, tout en se faisant culpabiliser de ne pas en faire 41, comme indiqué par l'annualisation des heures de notre contrat ultra précaire..

Alors je pense à tout ça, le cul vissé sur ma chaise de salle d'attente, attendant le médecin messie, qui me délivrera de ce mal durant un jour ou deux, jusqu'à ce que cela recommence, jusqu'à la fin de mon contrat précaire, qui en appellera d'autres..J'ai le temps de penser, j'ai le temps d'attendre, j'ai le temps de perdre mon temps et parfois, j'ai même l'impression, que ce temps assis ici, n'est pas tellement différent des temps ou je végète ailleurs...Peut-être sommes nous tous des patients passifs attendant à ce qu'on les autorise à se lever, pour se faire ordonnancer et avoir l'autorisation de travailler ou pas...

17 juin 2011 5 17 /06 /juin /2011 11:52

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Les meilleurs chefs..

La peur...Des romains à nos jours...

La certitude et le doute

La fin du monde et le pouvoir de la connerie

 

On a tous été plus ou moins dans le cas, certains plus souvent que d'autres, ou l'on s'est retrouvé dans cette situation gênante, se sentant coupable, en faute, bête...Une personne que l'on connait vient à notre rencontre, elle nous appelle pour nous parler, nous salue, alors on a envie de la saluer à son tour et là, c'est le drame, on se rend compte qu'on ne se rappelle plus de son prénom, alors qu'elle connait le notre...

Il y a pire, il y a le cas ou l'on ne se souvient même pas avoir rencontré cette personne au par avant. Alors on feint, on triche, on ment, on fait semblant que ça nous fasse plaisir, parce que ça a l'air de faire plaisir à la personne d'en face. On ne veut pas la vexer, parce qu'elle a l'air gentil, elle a l'aire contente de nous voire, en général, on apprécie les gens qui sont contents de nous voire. Mais dans ce cas, on est gêné et quand on a pas de suite avoué que l'on ne se souvenait plus de cette personne et qu'elle a commencé à entamer une discussion à laquelle on acquiesce, dans laquelle on s'est fait complice, on ne peut plus revenir en arrière sans avouer qu'on a été un gros faux cul...Et c'est dure d'avouer qu'on a été un gros faux cul devant la personne avec qui on vient de l'être, ayant été démasqué dans ses basses attitudes.

Pourquoi n'a t-on pas reconnu cette personne ? Plusieurs cas de figures peuvent expliquer ce phénomène. On a pu tout d'abord la rencontrer dans une soirée hautement alcoolisée et comme l'alcool n'est pas l'ami de la mémoire, on s'est trouvé amnésique de ce moment. On a aussi pu voire cette personne à un moment anodin, sans trop lui parler ou en ne lui parlant que de choses futiles et inintéressantes. Cette personne pourrait alors se souvenir de nous, parce qu'elle a une mémoire d'éléphant, ou parce qu'elle ne maintient avec les autres, exclusivement des relations de ce type, soit futiles et inintéressantes...On pourrait aussi s'imaginer, en étant un peu plus tordu, que cette personne connait notre penchant pour l'alcool et les pertes de mémoires et qu'elle profite de cela pour suggérer qu'on l'a connait, afin de rentrer dans notre cercle de confiance et nous soutirer des informations de haute importance...Mais là ça fait un peu trop film d'espionnage regardés par de gros paranos..

En ce qui concerne le fait de ne pas se souvenir du nom d'une personne, c'est encore autre chose. On se souvient ici de la personne, des conversations que l'on a eu avec, mais on ne peut simplement pas la titrer, la nommer. Quelle importance finalement ? On voit qui est cette personne, on la situe. On ne la connait pas encore bien et si cela devenait le cas, on retiendra naturellement son nom.

Quelle honte à avoir ? Lorsque l'on ne connait pas bien les personnes, on se moque de leur identité, qu'elles s'appellent Chico ou Roberta, qu'elles viennent d'ici ou de là bas, qu'elles sachent ou non danser la "Soca Dance", sauf si cela a un rapport avec une conversation que nous aurions déjà eu...Enfin bon, les conversations sur la "soca dance", c'est pas non plus over intéressant..A ce moment de la rencontre, la connaissance du nom de la personne ne peut nous être utile, que si on en parle avec quelqu'un d'autre..Histoire de mieux la situer, étant donné que nous n'ayons pas forcément eu les mêmes rapports avec.

Oui mais l'identité a plusieurs sens. Il y a l'identité civile, représentée par le nom de la personne et l'identité morale, qui définit qui est cette personne. Quand on ne connait pas bien une personne, il faut être très imbu de soit même ainsi que de ses capacités d'observation et d'analyse, pour affirmer pouvoir la définir. Le fait de ne pas savoir son nom ne représente alors que la symbolique de son incapacité à la définir.

J'en déduis qu'il ne faut en rien culpabiliser du fait de ne pas connaître le nom d'une personne, avec qui on a jamais eu rien d'autre que des rapports futiles. A moins d'être un archiviste hors paire, à la mémoire de fer, on ne devient en rien ingrat et impoli de cet oubli. A un premier stade d'une rencontre, l'important n'est pas qui l'on est, mais ce que l'on fait dans l'instant. Il vient ensuite le temps ou l'identité, l'histoire des personnes prend une plus grande importance, pour que l'on puisse faire un bout de chemin en bonne collaboration, ou en toute amitié, ou en autre chose selon les occupations communes que l'on se sera trouvé...

13 juin 2011 1 13 /06 /juin /2011 11:51

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La guerre invisible

La fin du monde et le pouvoir de la connerie

 

Article fait à la lumière de renseignements pris dans un reportage qui est passé sur ARTE, début juin 2011.

Une info passe de l’ordinateur d'une personne à celui du Hacker, qui sait faire que cette info transite par lui, il ramène alors cette information vers le moniteur, avec les modifications qu'il a souhaité y mettre, puis cette info va vers le net. Tout ce qui contient du texte est manipulable et sur la toile, sur votre PC, tout est encodé, tout est modifiable et quand on connait les programmes, leur fonctionnement et leurs fonctions, on est capable de modifier ces programmes selon son bon plaisir.

Les médias sont sujets au même principe, ils saisissent la réalité, mais tout est modulable, modifiable, surtout quand la masse des infos diffusées n'est pas vérifiable par les récepteurs de l'information. Le risque de désinformation et de manipulation lié à l'internet est le même.

Hackers et cyber espace

A départ, on ne pouvait utiliser que des logiciels payants sur son PC, puis sont apparus des logiciels libres, comme open office ou linux, conçus en partie par des Hackers. Les Hackers sont tous différents, mais peuvent se regrouper en deux grosses catégories, les "white hat" et les "black hat"...Un genre de concept du bien et du mal dans l'informatique et le cyber espace. Les white hat vont par exemple, tenter de créer des logiciels libres d'accès, non soumis aux lois du marché, de rendre le net et les avantages qu'il comporte, accessible à tous...Ils vont également aider les administrations et entreprises à se protéger contre les black hat. Les black hat sont eux, considérés comme des délinquants, ils disséminent des virus sur la toile et tentent de nuire au système en place...Selon sa considération personnelle, on peut considérer que les uns sont gentils, les autres méchants, que les uns sont les lèches culs du système et les autres des révolutionnaires de la toile, que les uns sont des libérateurs du cyber espace et les autres des mercenaires payés par des terroristes...Tout dépend, tout est relatif...

En juin 2009, l'accès au net a été estimé comme une liberté fondamentale par le conseil constitutionnel. Il fut donc impossible en France, de priver les utilisateurs du net...La loi Hadopi est donc morte née...L'état normatif, fait des tentatives pour mieux contrôler la toile, ça donne des résultats comme Hadopi. Les règles du dehors, ne peuvent pas être les mêmes que sur le net. Le net est un espace nouveau, qui trouve des points communs avec la vie extérieur, rien que par le fait que les utilisateurs soient les mêmes, mais qui définit des règles, des normes, des valeurs nouvelles, dont on pourrait parfois s'inspirer pour le fonctionnement de la société civile. Le cyber espace est comme une nouvelle société, une société parrallèle. Sur le net, tout le monde a droit au chapitre, il n'y a pas besoin d'être connu pour bénéficier d'une diffusion massive. Il y a des gens, de la société civile, qui ne supportent pas cette idée, qui voudraient que le net soit orthonormé, à l'image de la hiérarchisation du dehors. Qu'il y ai les mêmes castes, les mêmes élites, les mêmes privilèges, voilà leur souhait...

Les Anonymous

Et puis il y a aussi la toile qui influe sur le monde civil, des groupement comme les Anonymous revendiquent cela. Les Anonymous seraient un mouvement sans chef, ni idéologie, qui serait né de la mobilisation contre l'église de la scientologie, en 2008. Leur principale action est le deni de service. Le principe est qu'on sature les sites avec des millions de connections, afin qu'ils deviennent inutilisables. C'est un genre de Hacking à la portée de tous. Les Anomymous ont par exemple, attaqué massivement les sites des institutions et entreprises ayant coupé les vivres à Wiki leaks. Ils ont également attaqué les serveurs des gouvernements en place, lors des révolutions arabes.

Les méthodes des Anonymous ne sont pas cautionnées par nombres de Hackers, qui les trouvent fascistes. Les Anonymous se comporteraient comme une milice, selon eux. Dans tout les cas, ils ont le mérite de poser des questions graves et de compenser le poids des fascismes, qui arrivent dans le sens inverse des idées qu'ils défendent. On peut citer par exemple, le fascisme qui a fait que l'on a coupé les vivres à wiki Leaks, ou encore le fascisme issu de la répression des gouvernements en place contre les révolutions arabes..

Les Anonymous sont des militants récupérant les outils des Hackers. Il n'y a pas besoin de savoir comment on fabrique un fusil, pour l'utiliser. Pour les anonymous, le principe semble être le même, bien que je pense qu'ils ont du recruter nombres de Hackers qui s'y connaissent vraiment, afin d'être plus efficace. Bien que l'on puisse utilser un fusil sans savoir comment il fonctionne, on l'utilise avec plus d'efficacité et plus longtemps, lorsque l'on comprend son fonctionnement.

Avec le net, la hierarchie des pouvoirs est mis en cause, le monde subit cette mutation, le pouvoir se défend et des alternatives à celui-ci naissent..Qu'est-ce que tout ceci va donner ? Personne n'en sait rien, on verra dans quelques années...

8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 14:56

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Système économique mondial : retirez vos oeillères, changez le monde !

 

Cet article est rédigé à la lumière d'un reportage que j'ai vu le 07-06-2010 sur ARTE.

Potentiellement, les réseaux d'eau, d'électricité, de signalisation routière et la plupart des infrastructures publiques sont dépendantes des réseaux informatiques, qui gèrent leur fonctionnement. Ils peuvent donc, selon le même principe, être perturbés ou coupés, par une cyber attaque.

Les états ont bien compris l'importance du contrôle de leurs réseaux informatique et de leur protection contre les attaques. Ils mènent aussi des guerres informatiques contre les pays concurrents, dans des buts politiques ou économiques...Il y a quelques années, la Russie aurait mené une cyber attaque contre son voisin l’Estonie. Ce petit voisin de la grande Russie, à tout misé sur les nouvelles technologies. Là bas, le net est partout, on vote par le net, on y fait ses courses, on y paye ses factures, tout est informatisé...La Russie aurait engagé des Hackers très performants, qui se seraient chargés de faire beuguer les sites gouvernementaux estoniens, en se connectant en masses sur leurs sites, afin de les faire saturer. Pour se faire, ils ont utilisé le même genre de réseau zombie qui est utilisé pour l'envoi de spam. Ensuite, ils ont usés du même procédé, pour faire saturer les sites des banques, des journaux et de l'ensemble du net estonien.

Ici, les autorités russes auraient fait appel à des hackers et non à leurs propres services, pour brouiller les pistes et ne pas pouvoir être accusé officiellement de l'attaque, bien que les services secrets des pays traitant l'affaire, soient bien au courant de la méthode appliquée. Rien ne peut être prouvé. Il suffit donc de donner suffisamment d'argent à des Hackers performants et ils s'occupent de tout.

Avec le système des Botnet, l'ennemi reste anonyme, il est impossible de mettre directement en cause la Russie. Botnet, définition : ce terme est très souvent utilisé pour désigner un réseau de machines zombies, car l'IRC fut un des premiers moyens utilisés par des réseaux malveillants pour communiquer entre eux, en détournant l'usage premier de l'IRC. Ce n'est qu'à partir de 2002 que plusieurs botnets malveillants (Agobot, SDBot puis SpyBot en 2003) firent parler d'eux et que la menace prit de l'ampleur.

Toute machine connectée à internet est susceptible d'être une cible pour devenir une machine zombie : les machines Windows, qui représentent la majorité des machines contaminées, mais aussi, dans une moindre mesure, les machines Linux , voire consoles de jeu  ou des routeurs

En 1969, c'est l'armée américaine qui a inventé l'internet. Ce réseau fut ensuite utilisé par des universités avant de connaître une croissance exponentielle dans les années 1990.

Le 13 juillet 2010, Symantec, société de cyber sécurité repère un nouveau virus visant le système d'exploitation Windows. Ce virus à pénétré une dizaine de milliers d'ordinateurs par delà le monde. Ce virus a la particularité d'être très élaboré et de ce fait, est dure à répérer, si bien qu'on le soupçonna d'être présent sur les réseaux depuis plus d'un an, au moment ou on l'a détecté. Caspersky, société russe de cyber sécurité, tenta également de lutter contre ce virus, cette fois la Russie n'étant pas l'instigatrice du mal...

Ce virus est nommé "Stuxnet" et fut crée pour prendre le contrôle d'un logiciel conçu par Siemens. Au départ, personne n'avait aucune idée de la manière dont ce virus pouvaitt rapporter de l'argent à ceux qui l'ont implanté. Habituellement, c'est le mobile de l'implantation de nouveaux virus. Il fut dissimulé dans deux serveurs consacrés au football, au Danemark et en Malaisie. On constata que 60% des 100 000 ordinateurs qui furent finalement infectés, se trouvaient en Iran. Le 26 septembre 2010, l'Iran révèle que ses installations nucléaires ont été fortement endommagées par une attaque informatique. La vitesse des centrifugeuses, contrôlée par un système informatique, a été mis hors de contrôle et les turbines ont littéralement explosé.

Dans la centrale, le virus est longtemps resté dormant, sabotant peu à peu la centrale, tout en donnant les informations comme quoi tout allait bien. Stuxnet a infecté un réseau non relié à internet, au cyber espace. Il a infecté un maximum d'ordinateurs dans la zone des centrales iraniennes, jusqu'à ce que quelqu'un connecte une clé USB, infectée dans le cyber espace, à un ordinateur relié à l'intranet sécurisé des centrales. Il n'y a pas forcément eu une intention de nuire de celui qui a mis la clé, il n'y a pas eu besoin d'envoyer un espion sur place, c'est la force de ce système...
Au final, ce virus à fait prendre 2 ans de retard à l'Iran, dans son programme nucléaire. Avec ce genre de virus, on ne se rend pas compte que l'on est infecté.

Israël et les USA furent soupçonnés d'avoir fomenté cette cyber attaque...

Les feux de signalisation, l'eau, l'électricité, les pipe line, les transports, les trains, les flux financier, tout ce qui est informatisé est susceptible d'être touché par une cyber attaque. "Les cyber guerres ne sont pas des 1 et des 0 qui se battent dans la quatrième dimension", elles causent des dégâts réels.

Les compagnies d'électricité américaines ne veulent pas développer leur réseau intranet, car cela serait trop couteux par rapport à l'utilisation de l'internet. Leur intranet existe, mais est connecté au cyber espace. La sécurisation des infrastructures informatiques serait couteuse et n'est pas considérée comme prioritaire en ces temps de crise économique. Voilà encore une fois, comment le système du profit immédiat néolibéral, nous fait courrir des risques absurdes et rationnellement évitables..

En matière de cyber attaque, la chine inquiète. En matière de cyber espionnage, des réseaux informatiques d'administration américaines ont été piratées aux USA et les chinois ont été détecte dans les réseaux français, britanniques, allemands et de l'OTAN. La cyber guerre est instable, explosive, sujette à tous les dérapages et à toutes les manipulations. L'OTAN va proposer un traité mettant les cyber attaques, hors la loi, ce qui ne serait donc, toujours pas le cas.

Au final, presque tout le monde, à condition d'être une bête en informatique et de bénéficier de réseaux et structure organisée et pas que les états, peut mener une cyber attaque. (genre Die Hard 4...).

6 juin 2011 1 06 /06 /juin /2011 17:48

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En ce moment on nous parle de la réforme de la garde à vue, du coups je me suis posé la question de la place de celle-ci dans l'instruction judiciaire française. La garde à vue est centrale, dans l'établissement de preuves incriminant le suspect de crimes ou délits. Sous Sarkozy, au ministère de l'intérieur, puis en temps que président de la république, on a permis le prolongement de la garde à vue de 24 à 48h et jusqu'à 96h pour les affaires relatives au terrorisme. La garde à vue s'est donc, par ces décisions, grandement renforcée.

Aujourd'hui, le principe de la garde à vue comme élément essentiel de l'établissement de preuves incriminant un suspect, est remis en cause par la justice. Alors, évidemment, cela remet en évidence les guéguerres entre la justice et la police, les seconds incriminant les premiers de saper tout leur travail d'interrogatoire par quelques procédures relatives à la garantie du respect de la liberté des individus.

La réforme de la garde à vue a été adoptée définitivement par le parlement français, début avril. Celle-ci ne devait s'appliquer qu'en juin, mais une décision de la cour de cassation a rendu son application immédiate. Cette réforme implique notamment " la présence d'un avocat tout au long de la garde à vue - et non plus pendant la seule première demi-heure d'entretien - et stipule que «la première audition, sauf si elle porte uniquement sur les éléments d’identité, ne peut débuter sans la présence de l’avocat choisi ou commis d’office avant l’expiration d’un délai de deux heures» après que le gardé à vue a demandé l'assistance d'un avocat. L'article 1er rétablit par ailleurs un droit au silence." (article de 20 mn du 15 avril 2011)

Le problème ici, soulevé par certains juristes soucieux du respect de la présomption d'innocence et du maintient des libertés fondamentales, auxquelles a droit tout individu, même incriminé par la justice, même gardé à vue ou mis en examen, a été traité la plus haute juridiction française. Les justiciables incriminés voient leur droit à disposer de la présence d'un avocat durant l'entière période de leur garde à vue. Tous les gardés à vue, à compter de l'adoption de la réforme début avril, pourront donc contester la validité de leur garde à vue et invoquer le non respect de la procédure policière et judiciaire rendant invalide toute décision prise à leur encontre.

Ca fout un beau bordel, mais ça n'est pas plus mal. Honnêtement, on en était arrivé à un système du tout répressif, ou les individus étaient passés à la moulinette enfermés dans un commissariat, un peu comme on pouvait passer à la "questionnette" des frères inquisiteurs au moyen-âge. On ramolli le prévenu, on le menace, on l'angoisse, jusqu'à ce que l'on obtienne de bons aveux. Le problème résidait dans le fait, que parfois les gardés à vue, même innocents, étaient tellement traumatisés par la procédure, qu'ils finissaient par avouer des fautes qu'ils n'avaient pas commises (Patrick Dills...), simplement pour que cesse ce cauchemar, cette torture psychologique, voire physique. Souvent, les aveux issus de la garde à vue étaient les seuls éléments concrets d'une accusation et les décisions de justices se basaient sur ceux-ci.

Je ne remet pas en cause le principe de la garde à vue, consistant à interroger un suspect, en écartant temporairement tout danger potentiel, qu'il pourrait faire encourir à la sécurité publique. Mais cet individu, tout suspect et criminel potentiel qu'il soit, à le droit de se voire garantir un moyen de se défendre, même durant sa garde à vue. La garde à vue ne doit pas être une zone de non-droit ou un individu peut-être soumis à n'importe quelle fantaisie qui pourrait passer par la tête d'un policier en mal d'aventure..

Les policiers travaillent en sous effectifs, ils ont une masse d'affaires à traiter et leur intérêt est d'obtenir des aveux, le plus rapidement possible, afin de boucler l'affaire, transmettre le dossier et le prévenu à la justice, pour passer au dossier suivant. Il y a trop d'affaires ou l'on a fait avouer n'importe quoi aux inculpés en garde à vue, notamment parce que ces individus n'avaient personne pour les défendre en ce lieu. Alors que les flics râlent, qu'ils se plaignent du fait qu'on leur sabote leur travail, celà revient au même. La liberté de se défendre devant la justice et de disposé d'un moyen légal de défense dès le début d'une instruction à son encontre, doit être garanti à tous et c'est le cas depuis le mois dernier pour les gardés à vue, il était temps !

Dorénavant, la police ne pourra plus autant se baser sur les aveux recueillis durant la garde à vue pour établir une éventuelle culpabilité de l'individu et devra plus se concentrer sur le travail d'enquête établissant des preuves à charge ou à décharges de l'inculpé. C'est déjà ça...

27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 09:16

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Perdre la vie est un risque plus grand que celui de mourir. Perdre la liberté sous le chantage d'une mort annoncée est incomparablement plus grave. Principe du purgatoire inspiré par notre culture judéo chrétienne, influencé par nos valeurs religieuses, qui soit dominaient anciennement nos esprit avant le désenchantement du monde, soit les dominent encore et exercent leur pouvoir de contrôle sur nos âmes. Mais que nous soyons contrôlé par la morale religieuse ou la morale sociétale laïque au sein de la religion étatiste, nous subissons une domination morale, culturelle, sociale, économique. Nous sommes des esclaves et nous servons nos oppresseurs, plus ou moins directement, nous en avons plus ou moins conscience et cela agit plus ou moins sur notre moral.

Alors il faut bien se comporter, se comporter de façon conforme à ce qu'on attend de nous et si nous ne suivons pas ce chemin, on mettra en œuvre contre nous divers moyens de pression pour nous faire flipper, nous mettre plus bas que terre...Et de purgatoires, en exclusion sociales, notre vie sera infiniment moins douce que si on avait écouté ce qu'on nous dit. Voilà à quoi sert le cloisonnement, la propriété, la hiérarchie, le bon sens commun, à bien savoir ou nous sommes. Une vraie petite passion pour l'ordre, le rangement, la parcellisation, l'atomisation, le diviser pour mieux régner. Pour empêcher tout éventuel ordre concurrent, on exacerbe la concurrence entre les petits, au sein d'une masse pour qu'elle n'ai pas conscience d'en être une, d'avoir aussi un pouvoir, des moyens de pression...

Alors, on nous fait chanter, nous sommes otages de ça, on nous fait convoiter quelques privilèges potentiels et comme nous sommes divisés, nous ne pensons qu'à notre gueule, à notre petit confort personnel et la solidarité s'éloigne d'autant. Nous somme otages victimes du syndrome de Stockholm social, qui nous fait défendre nos bourreaux, défendre le système qui nous rend otages, esclaves, en quête de quelques bon points, tels des kapos qui perpétuerait l’oppression de l'étage supérieur, pour que la haine des oppressés se matérialise sur leurs vis à vis et non sur ceux d'au dessus.

Et pourquoi pas se libérer de ce chantage, et pourquoi ne pas faire autre chose, ne pas voire qu'il existe une infinité d'autres choses à faire, à vivre, que celles que l'on nous propose. Et pourquoi ne pas décider enfin pour soit, prendre le pouvoir, diriger notre vie comme bon nous semble et non comme bon nous est signifié. Une sorte de libération de l'esprit, première étape d'une vie qui prendra des chemins moins frustrants, névrotiques, angoissants et chiants...S'ils veulent que je chante, alors je chanterais, mais ça sera une autre musique...

26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 09:44
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Tomber amoureux ?

Une bonne façon de se sentir heureux, ou en tout cas de se sentir plus proche d'un certain bonheur, que si l'on éprouve pas ce sentiment, l'amour rend souvent la vie plus belle et plus légère. La plupart du temps, les gens comme moi, pensent qu'il est improbable de tomber amoureux, alors ils restent soit célibataires auto sexuels, comme moi, soit ils se conforment à se foutre en couple par défaut, craignant plus le fait de finir seul, que de finir dans des habitudes de couple ennuyeuses et dévoreuses de toute passion.

Il est donc peu probable de tomber amoureux, mais ça n'est pas impossible, tout comme il n'est pas impossible que la vie puisse être belle, qu'importe ce que les normes chiantes d'une société esclavagiste chiante, qui ça arrange que l'on soit malheureux, nous font croire..

Personnellement, j'ai bientôt trente ans, ce qui fait de moi un quasi adulte. J'ai passé l'âge de croire aux histoires à la con, que des petites jeunettes se racontent et me racontent. On peut tomber amoureux, même si on fait tout pour se protéger du risque affectif que cela comporte. On ne veut pas laisser entrer des inconnus dans sa maison, on filtre les entrées, on ne veut pas que quelqu'un puisse foutre le bordel dans son intimité, seul espace dont on croit contrôler quelque chose, mais ce contrôle n'est qu'un chimère.

La maison de l'angoisse

En fait, on croit avoir une maison, posséder quelque chose, protéger ses sentiments, mais c'est faux. Cette maison n'est qu'un cloisonnement de plus, emmuré des frustrations et déceptions qui nous sont passées dessus dans le passé. Et puis un jour, quelqu'un entre dans cette maison et abuse de l'espace intime de soit, qu'on a bien voulu lui ouvrir. C'est dure, mais ça permet de grandir et de se rendre compte que cette maison n'est qu'une connerie. Quand on la voit en bordel, nous inspirant plus d'angoisses que de quiétudes, on constate par les faits qu'il est temps que l'on sorte de cet enfermement et de cette quette de protection. On a tellement voulu se protéger, qu'on a réussi à faire tout l'inverse de ce que l'on voulait au départ et on a fait rentrer les pires connasses (ou connards..), qui y on foutu une belle merde. On déteste alors ses personnes pour nous avoir fait du mal, mais elles nous ont rendu un fier service...Ceci dit ça reste des connasses (ou connards), faut pas abuser non plus, ils (elles) n'étaient pas obligé de nous manquer de respect quand même, que ça soit conscient ou pas, le résultat est le même. 

Comme le dit une amie à moi, 
"Oui tu peu tomber amoureux un jour, même si tu fais tout pour te protéger du risque affectif, comme les barrières électriques de Jurassic Park peuvent tomber en panne malgré leur haute, très haute technologie de protection. Non tu n'est pas à l'abri! Oui l'amour tel le tyrannosaure peut sortir de son enclos et venir de déchiqueter le cœur tel une pauvre cuisse de chèvre sanguinolente. Et ensuite le balancer au large et le laisser gisant dans la boue. Rien ne peut te mettre à l'abri de ça."

Amour ou désir ?

Elle dit aussi,

"Il parait que l'amour est toujours réciproque, mais pas forcément le désir..."
Effectivement, on peut facilement croire à l'amour, lorsque l'on éprouve du désir pour une personne, mais la meilleure façon de savoir si c'est de l'amour ou pas, est de vérifier si le désir est réciproque et si au delà de ça, il y a autre chose que du désir dans la relation analysée, même s'il est réciproque. Il se trouve que les gens se mentent souvent à eux même et j'en sais quelque chose...On peut se persuader d'être amoureux alors qu'on ne l'est pas, juste parce qu'on a le désir d'être amoureux. Alors on jette son dévolu sur quelqu'un, qui pourrait parfaitement être quelqu'un d'autre. On se fait alors un film en trouvant toutes les qualités du monde à une personne, qui finalement, est loin de mériter tous ces éloges, mais aime à ce qu'on lui les fasse...

Le jour ou l'on voit la vérité en face et que l'on prend un temps soit peu du recul sur soit, on se rend compte qu'on se raconte des histoires et qu'on est souvent aidé en cela par une autre personne qui nous raconte d'autres histoires encore plus invraisemblables et virtuelles, dans une sorte de mythomanie...Alors, on croit tout, parce que l'amour, ou plutôt le désir, rend aveugle. Une fois qu'on se rend compte de tout ça, on se sent con, mais ça passe et ensuite on est bien content de ne pas avoir pourri, victime de manipulations affectives...

En résumé, on a peu de chances de tomber amoureux, mais ça peut arriver. Le mieux est d'être honnête avec soit même et avec les autres, de vivre ce qu'on doit vivre et de découvrir la suite de sa vie sentimentale sans essayer de la calculer. Le mieux est de se décloisonner de ses protections affectives dérisoires et illusoires et d'aller de l'avant, ce qui doit arriver, arrivera...Quand on arrête de se raconter des histoires, on se protège contre les mythomanes conscient(es) ou inconscient(es), car on les vois arriver à des Km, tellement leur jeu est grotesque et puant. Voilà, donc laissez vous aller, décoincez vous le cul et vous verrez mieux...

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